En cage...

Depuis combien de jour était-elle là? Quatre? Cinq jours peut-être? Et pourtant....aucune amélioration quand à sa vie. Chaque journée était la copie de l'autre. Un maître arrivait, observait les différents Hybrides, repartait avec un et tout recommençait.

Parfois, un homme se penchait sur sa cage où elle attendait patiemment, le menton fièrement lever, que quelqu'un s'intéresse à sa personne. Certes, l’Hybride détestait les humains, les trouvant traite et stupide de se croire supérieur, mais elle préférait cela, et peut-être trouver un maître comme son précédent, que de rester enfermé dans cette petite cage de fer qui empestait la crasse, la sueur, le sang et les excréments.

Soudain, pendant un moment d'inattention, un humain se pencha sur sa cage et l'examina. Malice sursauta en se rendant compte qu'elle ne s'en était pas rendue compte et redressa fièrement la tête, plongeant son regard Jaune dans les prunelles de l'homme. Même si elle était sale et en cage, elle avait sa dignité. Déjà qu'elle était rouge de honte à l'idée de ne pas s'être rendue compte de ce regard figé sur elle...

- Vous êtes interreser par elle? demanda poliment le vendeur.

L'humain releva la tête et s'éloigna de sa cage.

- Je n'aime pas la lueur qui brille dans ses yeux. Elle est très belle, mais trop fière, et insoumise. Je veux un esclave qui réponde à chacun de mes ordres sans se demander pourquoi. Celle-là est trop intelligente.

Malgré son ouïe plus fine que celle humaine, Malice perdit bientôt le fils de la conversation lorsqu'ils changèrent de pièce. Abaissant la tête une fois de plus, l’Hybride ferma les yeux et s'accota dans un coin de sa cage, tout au fond, pour pouvoir prendre un peu de repos. Il ne devait pas dépasser midi. Le temps serait long. Très long...

Bien sur, le temps fut long, mais pire encore, elle voyait passer les heures avec une lenteur à pleurer. Mais après tout, c’était mieux que de pourrir chez l’un de ces abruties d’humains ! Malheureusement pour elle, l’un d’eux fit bientôt son entré dans la boutique. Restant immobile dans sa cage, Malice n’avait pas eut besoin de regarder pour sentir toute la tension qu’il y avait à présent. Le personne qui venait d’entré ne devait pas être quelqu'un de très attendu… il avait même l’air de susciter la peur.

Le mieux était donc de ne pas bouger, de ne pas ce faire remarquer jusqu’à ce qu’il parte. Les yeux fixer à travers les barreaux de sa cage, Malice écoutait les pas de cet homme qui avançait lentement, détaillant certainement chacun des Hybrides qu’il voyait. Avec un peu de chance, il ne remarquerait pas la cage dans laquelle était Malice. Vain espoir… Car en plus de la remarquer, il s’était arrêté devant elle. Elle sentait à présent son regard, mais s’empêcha de le croiser.

" Approche toi, que je puisse voir de quoi tu a l'air de près."

En entendant ces paroles et en se rendant compte qu’elles lui était adresser, Malice ferma les yeux l’air contrarier, puis les rouvris lentement, sans dévier son regard… Le ton sur lequel l’homme avait parler ne lui avait pas plus…pas du tout. Il lui paraissait bien trop sur de lui, et Malice n’était une Hybride à qui on donnait des ordres !

Elle ne tourna donc pas la tête, mais répondit lentement, d’une voix insolente :

« Si tu veux me voir de plus près tu n’a qu’à t’approcher gros lard ! »

Son expression n’avait pas changé. Elle en avait assez de recevoir des ordres, de se faire juger, négocier. Mais voila, c’était la vie destiné à une Hybride comme elle, animal et humaine à la fois. Pourtant cette destiner ne lui plaisait pas du tout…
Elle soupira, et attendit que l’homme s’en aille, comme tout les autres…

Au bout d’un court instant, Malice s’était rendus compte que l’homme n’avait pas bougé, il qu’il n’avait pas l’air d’en avoir l’intension. Elle l’avait pourtant envoyé balader, et cela suffisait d’habitude à la faire stagner quelques heures de plus dans cette cage immonde. Pourtant il semblait que cette fois là, elle allait devoir y mettre plus d’ardeur. Rapidement, elle chercha une injure assez blessante pour que l’homme se tire une bonne fois pour toute, ouvrit la bouche pour parler mais n’eut pas le temps de prononcer une seule parole…

"Vendeur, venez ici! Je la veut elle! Elle seras parfaite pour l'usage que je lui réserve."

Sursautant, Malice se tourna vers l’homme pour la première fois depuis qu’il était arrivé et observa son sourire avec un mélange de dégoût et de colère. La détermination e lisait sur son visage…cette fois ci, il fallait faire vite si elle voulait rester ici. Mais paniquer, elle ne trouva rien et ce contenta de bafouiller :

« Quoi ? Non mais…sa va pas ? Quel usage ? »

Mais personne ne semblait vouloir l’écoutait. Malice jeta un œil autour d’elle. Tout les Hybride la regardait non pas avec envie ou jalousie, mais plus avec pitié qu’autre chose. Dans quoi partait elle cette fois ci ? Puis ce fut au tour du vendeur d’arriver, toujours apeuré. Il tenta de convaincre l’homme de ne pas l’acheter et pour une fois Malice l’apprécia. Mais ce fut de courte duré… L’homme semblait décider, pour son plus grand malheur. Malice observa alors celui-ci. Il n’était pas laid, mais quelque chose ne semblait pas nette chez lui. Une espèce d’ombre mauvaise, un regard un peu trop déshabillant…cela cachait quelque chose. Et malheureusement elle serait bientôt mise au parfum…certainement.

Lorsque le vendeur entra dans sa cage une laisse à la main, Malice senti la colère monter et montra les dents, dans un grognement très animal. Mais cela ne le dissuada pas un instant. Apparemment le vendeur avait bien plus peur des « représailles » du maître que des crocs de l’Hybride…
Derrière lui, elle voyait le sourire pervers de l’homme et se colla au fond de sa cage. Non ! Elle n’avait certainement pas l’intention de ce laisser emmener ! D’un coup, elle se jeta sur le vendeur qui tremblotait complètement à l’idée de ne pas réussir sa tache. Furieuse, elle planta ses petites dents pointues dans le bras de l’homme qui hurla, mais ne se laissa pas faire… Car en crachant le sang qu’elle avait dans la bouche, prise d’un haut les coeur, elle ne s’était même pas rendue compte que celui-ci n’avait pas perdu de temps pour lui passer la laisse.

« Lâche moi gorille péteux ! »

Mais elle en eut la respiration couper, le vendeur avait bien trop serré la laisse et son cou lui faisait atrocement mal. Lentement, elle tenta de reprendre sa respiration qui sifflait, jetant des regards haineux aux deux humains. Tirer en dehors de la cage avec une grande violence, elle tentait de se débattre et de se débarrasser de sa laisse…

Le vendeur pestiféré mille injures, mais rien ne pouvait l'arrêter de peur d'avoir affaire à l'héritier maudit des O'Brock. Kahir regardait cela avec un certain amusement, et pendant qu'elle se débattait il alla poser une grosse malette noire sur la table, elle semblait gonflé à bloc, et le vendeur en aurait pour cet hybride assez d'argent pour vivre tranquillement pendant deux bonnes années.

Le vendeur sortit de la cage, la furie, que Kahir appréciait de plus en plus, si elle continuait comme ça, elle allait subir des sévices qu'il n'avait même pas encore imaginé, le genre de chose que l'on ne disait pas de peur d'éffrayer. mais Kahir se fichait bien de cela, il profitait justement de cette peur qu'il provoquait chez les autres, provoquant le respect et la crainte.

Les autres hybrides paraissait connaitre sa réputation, et soufflèrent légèrement de soulagement leur tour n'était pas encore arrivé, mais qui sait, Kahir se conteterais certainement mal d'un seul jouet pour éxaucer ses fantasme les plus sordides, mais pour l'instant elle lui suffirais, surtout que son dressage allait prévoir une bonne dose de temps personnel.

Le vendeur tira sur la laisse, et Kahir n'attendit pas pour empoigner la pognet de la laisse, la tirant violemment vers lui, l'étranglant presque avec une animosité malsaine. Ils furent alors face à face, leurs deux souffles éffreinés se mélangeaient, il s'approcha d'elle et sentit son cou, elle sentait bon, elle sentait une sueur qu'elle allait sentir heure sur dans les prochains jours, il allait la dresser à sa guise, et elle apprendrais à apprécier les caresses de son maîtres aussi violentes soit elle. Il chuchota:

" Tu vas devenir mon jouet petite, et ne t'avise pas de me contredire, sinon je te promet que ça iras mal."

Et sans prévenir, il la frappa au visage pour la calmer, histoire de lui faire comprendre que si elle continuait de se débattre, tout n'irait qu'en empirant, et que lui, n'était pas du genre à se laisser faire par un objet animés, sans esprit, et sans intélligence. Il tira alors violemment sur la laisse, l'enmenant vers sa villa à l'allée de la rosée.

(fait un dernier post, et après je t'emmenerais dans la villa O'Brock dans l'allée de la rosée^^)

Lorsque l’homme avait tiré sur la laisse, Malice avait eut la respiration complètement couper pendant quelques seconde. Elle commençais à sentir le manque d’air un peu trop important à présent et haletait. Elle ne se rendit même pas compte qu’elle se trouvait maintenant si près de lui, qu’il la frôlait, et sentait même son odeur… Puisqu’elle était trop occuper à se débattre et à tenter de desserrer ne serais ce que d’un cran la laisse qui l’étouffait. Les paroles de l’humain la dégoûtèrent, mais elle n’y prêta pas même attention.

Elle parvint enfin à desserrer le collier au moment même où l’Humain levait la main pour la frapper. Malice n’avait pas peur…Non, elle n’avait jamais connu la peur pour l’instant, mais la colère sa…elle connaissait même très bien. En une fraction de seconde, elle s’était préparer au coup de l’homme, et ne s’était pas défiler. La violence du geste la projeta à terre, sans parler de la douleur. Mais elle était trop fière pour émettre ne serais ce qu’une petite plainte… Elle ce contenta de serrer les dents, et de se relever dignement en se passant une main au coin des lèvre pour essuyer les gouttelettes de sang…

De la haine, voila ce qu’elle ressentait déjà pour ce sale humain ! Pour le moment elle n’y était pas apte…mais elle lui ferait payer…un jour…


[Je suis désoler pour le message si court mais je tenait à poster avant de partir chercher ma sœur… comme sa, on gagne du temps pour l’arrivé à la villa ! ^^ ]