Fière, le menton bien haut.

Invité

Depuis combien de jour était-elle là? Quatre? Cinq jours peut-être? Et pourtant....aucune amélioration quand à sa vie. Chaque journée était la copie de l'autre. Un maître arrivait, observait les différents esclaves Neiko, repartait avec un et tout recommençait.

Parfois, un homme se penchait sur sa cage où elle attendait patiemment, le menton fièrement lever, que quelqu'un s'intéresse à sa personne. Certes, la Neiko détestait les humains, les trouvant traite et stupide de se croire supérieur, mais elle préférait cela, et peut-être trouver un maître comme son précédent, que de rester enfermé dans cette petite cage de fer qui empestait la crasse, la sueur, le sang et les excréments.

Soudain, pendant un moment d'innatention, un humain se pencha sur sa cage et l'examina. Zara sursauta en se rendant compte qu'elle ne s'en était pas rendue compte et redressa fièrement la tête, plongeant son regard violet dans les prunelles de l'homme. Même si elle était sale et en cage, elle avait sa dignité. Déjà qu'elle était rouge de honte à l'idée de ne pas s'être rendue compte de ce regard figé sur elle...

- Vous êtes interreser par elle? demanda poliment le vendeur.

L'humain releva la tête et s'éloigna de sa cage.

- Je n'aime pas la lueur qui brille dans ses yeux. Elle est très belle, mais trop fière, et insoumise. Je veux un esclave qui réponde à chaqu'un de mes ordres sans se demaner pourquoi. Celle-là est trop intelligente.

Malgré son ouïe plus fine que celle humaine, Zara perdit bientôt le fils de la conversation lorsqu'ils changèrent de pièce. Abaissant la tête une fois de plus, la Neiko ferma les yeux et s'accota dans un coin de sa cage, tout au fond, pour pouvoir prendre un peu de repos. Il ne devait pas dépasser midi. Le temps serait long. Très long...

Invité

Dellios était partie de sa maison pour aller s'acheter une personne afin de ne plus s'ennuyer, il trouvait sa maison trop grande pour lui ce qui le poussait encore plus à trouver quelqu'un pour etre avec lui,il entra dans la boutique de Neiko, l'odeur était infecte et il regarda les Neiko avec un regard triste.

*Ce sont des etres vivants mais ils sont forçé de passer leur vie dans ce genre d'endroit, c'est vraiment idiot...*

Il s'approcha de la cage de Zara, son allure fiere l'attira et il se pencha avec un sourire sincere en la regardant, le vendeur l'interpella.

Vendeur: Vous voulez cette Neiko? Je vous la deconseille! Un animal désobeissant ne merite que la mort! n'est-ce pas monsieur?

Dellios le fixa avec un regard de haine et lui donna un coup de poing bien placé dans le plexus solaire, le vendeur s'accrouppie et cracha du sang.

-Ne dites jamais ce genre de choses devant moi, les Neikos,Esclaves et Hybrides sont bien plus nobles que n'importe quels humains vu ce qu'ils doivent subir par des imbéciles comme vous....

Il se retourna et se repencha vers Zara.

-Quel est ton nom? ^^

Invité

Perdant toute notion du temps, Zara avait fini par somnoler dans sa cage tout sauf confortable. Du moins, jusqu'à se qu'elle entende quelqu'un entré dans la misérable boutique où elle se trouvait. Sortant complètement de sa torpeur, elle redressa le menton et observa l'étranger s'avancer peu à peu vers elle. Rétissante à l'idée de se faire acheter, elle recula au début en grognant légèrement en voyant Dallios s'approcher, mais s'avança tout de même par la suite après s'être rendue compte qu'il serait préférable de partir au lieu de rester.

Cependant, se fut les paroles que l'humain prononça qui la rendi confuse. Il respectait les Neiko? Au même titre que les membres de sa race?! Était-il fou? Pourquoi le frappait-il parce que cet ignoble vendeur lui avait déconseillé de l'acheter? En l'écoutant parlé, Zara eut l'impression de revoir son ancien maître, mais en plus jeune tout de même. En le regardant bien, il était même un peu mignon.

* Décidément, les humains sont des êtres bien étrange. *

C'est alors qu'il se pencha vers sa cage et la Neiko recula instinctivement. Malgré qu'il est l'air plus sympathique que la moyenne des humains, on ne sait jamais. Les oreilles applatit sur son crâne, elle garda un regard méchant à l'homme qui lui souriait.

- Peuh! Vous, les humains, êtes si difficile à cerner. Vous n'êtes jamais pareille d'une personne à l'autre et, en plus, il vous ait si facile de tromper les gens naïfs.

Même s'il avait l'air gentil, Zara ne connaissait que trop bien l'hypocrisie de cette race pour accorder sa confience à un parfait inconnue, qu'il ai frappé ce tas d'ordure ou non. Toutefois, elle s'approcha quand même des barreaux, les agrippant, et colla son front contre eux en continuant à étudier l'humain.

- Si vous voulez savoir mon nom, donnez-moi le votre en premier. Et on verra par après. répliqua-t-elle sur un ton de défis.

Invité

En se epnchant vers la cage, Dellios remarqua que la Neiko recula, surement par instinct. Les oreilles applatit sur son crâne, la Neiko la fixa avec un regard mechant et dirt:

- Peuh! Vous, les humains, êtes si difficile à cerner. Vous n'êtes jamais pareille d'une personne à l'autre et, en plus, il vous ait si facile de tromper les gens naïfs.

La NeikoToutefois s'approcha des barreaux, les agrippant, et colla son front contre eux, Dellios continua de lui sourire et la Neiko lui dit sur un ton de défi:

- Si vous voulez savoir mon nom, donnez-moi le votre en premier. Et on verra par après.

Dellios passa sa main par les barreaux et caressa les cheveux de la Neiko.

-Hé oui, les humains sont des etres bien etranges, mais les autres etres vivant sur notre bas monde ont eux aussi chacun leur comportement, C'est bien normale non?

Il rajouta:

-Mais toi, tu n'es pas naives je pense ^^

Il enleva sa main des cheveux de la Neiko et se mit à sa hauteur en la fixant dans les yeux, il rapprocha son visage des barreaux et par consequent de celui de la Neiko, il lui dit sur un ton aimable:

-Je me nomme Dellios Natsuka, je suis dessinateur, et toi belle Neiko?

Invité

Lorsque Dallios la toucha, Zara s'était scriper et avait serrer les barreaux si fort que ses jointures en avaient blanchis. Toutefois, elle continua de le fixer de la même manière.

- Je suis loin d'être aussi naïve qu'une enfant même. Je sais se que les humains sont capable de faire à mes cousins neiko, comme aux hybrides et aux membres de leur propre race. siffla-t-elle, ses pupilles de chat se dilatant pour créer deux lignes vertical noir à peine perceptible dans le violet de ses prunelles. Et le fait que vous ayez l'air aussi sympathique semble anormal à mes yeux. Il y a toujours une raison. Toujours.

Cependant, elle continua de l'écouter. Sa voix était étonnant calme, chose qui l'impressionna. Il lui rappellait de plus en plus ce vieil homme qui l'avait si bien traité, mais aussi ses premiers maîtres. Se qui créait une sensation de rejet et d'amitié envers lui.

- Dallios. répéta-t-elle tout bas. C'est bizarre comme nom.

Naturellement, en disant cela, elle avait voulu se montrer blessante. Même si cela était complètement inconsciamment, elle l'avait fait. De vieilles traces des premières années de sa vie.

- Je m'appelle Zara Meld'Arc. répondit-elle, d'une voix rétissante, ignorant complètement le compliment qu'il avait placé dans sa dernière phrase.

Jugeant l'espace entre leur deux visages beaucoup trop petite, elle recula dans sa cage, lachant les barreaux par la même occasion et releva le menton pour lui montrer qu'elle n'avait pas honte d'être qui elle était.

-Vous devriez aller voir ailleurs tout de suite si vous chercher un animal de compagnie bien obéissant. Le vieux déchets à au moins raison sur ce fait.

Bien sûr, elle n'arrangeait pas les choses en lui disant de tel chose, mais toute sa vie durant, elle avait ainsi agit. Formant autour d'elle une sorte de bulle d'indifférence et de cruauté. Le seul moyen de ne pas devenir comme beaucoup trop de ses semblables.

Invité

La Neiko reprit la parole:

Zara:Je suis loin d'être aussi naïve qu'une enfant même. Je sais se que les humains sont capable de faire à mes cousins neiko, comme aux hybrides et aux membres de leur propre race.

[/]Les pupilles de chat de la Neiko se mirent à se dilater et créerent deux lignes vertical noir à peine perceptible dans le violet des prunelles, mais Dellios n'en tena pas compte.[/i]

Zara:Et le fait que vous ayez l'air aussi sympathique semble anormal à mes yeux. Il y a toujours une raison. Toujours.

Dellios savez bien qu'elle avait raison, meme si il n'etait pas comme elle decrivait les humains, elle dit sur à voix basse et sur un ton blessant:

Zara: Dellios,c'est bizarre comme nom.

Dellios esquissa un sourire joyeux.

*C'est vrai que Dellios c'est etrange comme prénom ^^*

La Neiko repondu enfin à sa question d'un ton retissant.

Zara:Je m'appelle Zara Meld'Arc.

Puis elle recula et monta fierement son menton, ce qui fit legerement rire Dellios.

*Elle me plait bien ^^*

Et elle fini de parler en disant:

Zara:Vous devriez aller voir ailleurs tout de suite si vous chercher un animal de compagnie bien obéissant. Le vieux déchets à au moins raison sur ce fait.

Dellios se releva et s'etira l'air heureux.

-Je souhaite Acheter cette Neiko, son coté indisipliné et fier me palit beaucoup, surtotu que je ne veux que quelqu'un m'accompagnant dans ma vie qu'elle me desobeisse je m'en fou aps mal, vu que je ne donne jamais d'ordre ^^.

Il alla dans un coin avec le vendeur et lui donna l'argent, le vendeur revint et ouvrit la cage, il mit un collier reliée à une laisse à Zara qui le griffa à plusieurs reprise et donna la poignet de la laisse à Dellios, ils sorterent ensemble, Dellios se rapprocha de Zara et detacha la laisse, mais laissé le colier fermé à clé pour que l'on voye qu'elle est acheté est pas en liberté, il lui sourit.

-Bien, je vais t'emmenner chez moi, tu peux faire ce que tu veux mais j'espere que tu ne t'enfuiras pas, tu pourrat sortir mais des que je t'apelle pour rentrer ou dans la maison pour que tu soye avec moi tu veins, sa sera ma seul volonté, que tu me tienne compagnie et ne t'enfuit pas ^^, tu es d'accord Zara?

Invité

Lorsqu'il avait déclaré la vouloir, la Neiko avait bien failli s'étouffer sans même avoir besoin de quelque chose pour. Depuis quand les humains apprécaient les esclaves désobéissant? Lorsque le plein soupe alla lui passer un collier et une laisse, il dut s'y reprendre à plusieurs fois et mettre d'épais gants qui lui montaient jusqu'aux coudes pour éviter d'être griffer et mordu. Lorsqu'enfin il réussit, Zara se mit à griffer systèmatiqueemnt la bande de cuir rubuste autour de son cou.

* Maudit collier! L'odeur est infecte. *

Elle plissa le nez à cette constatation, mais fut bien oubliger de suivre le détenteur de l'autre bout de la laisse. De petite pointe de métal, tout juste asser longue pour ne pas percer la peau, mais provocquer une douleur dérangeante, ornait l'intérieur. Si elle ne suivait pas, et bien s'était douleureux.

Après un dernier regard en arrière, Zara jeta un regard mauvais au vendeur qui semblait bien content de se débarasser d'elle. Alors que son nouveau maître, qui se révéla sincèrement bon en fin de compte, eut détacher sa laisse, l'idée de s'enfuir la prit, mais elle laissa l'idée en suspent. Au milieu de cette foule, jamais la Neiko n'aurait été bien loin.

- Et maintenant? demanda-t-elle après les brefs explications de Dellios. Nous retournons chez vous, oh cher maître? (Le tout sur un ton profondément sarcastique.) Ou désirez-vous aller à d'autre endroit pour votre bon plaisir?

Invité

Dellios souriait toujours et Zara lui repondit .

Zara:Et maintenant?Nous retournons chez vous, oh cher maître? (Le tout sur un ton profondément sarcastique.) Ou désirez-vous aller à d'autre endroit pour votre bon plaisir?

Dellios soupira et s'approcha d'elle, il lui tapota gentillment sur l'epaule.

-Meme si pour les autres personnes tu m'appartiens, pour moi tu es ma compagne dans la vie et pas ma chose, tu es toi, ni un animal de compagnie, ni un objet sexuel, juste la femme qui serat avec moi, toute façon je ne vais pas m'amuser à te violer ou te faire l'amour, déja je ne suis pas comme ça et ensuite meme si tu es belle je ne voudrais pas te faire faire quelque chose par contrainte.Tous ça pour te dire de m'appelle Dellios est me tutoyer,je ne souhaite pas que tu me prenne pour un chef, tu vaux surement bien mieux que moi.

Il lui fit une bise sur la joue et pointa son scooter.

-Bien nous allons rentrer et je te montrerais ma maison qui sera dorenavant la tienne, je suis riche mais je ne suis pas accro au confort ne t'attend pas à une villa.J'espere que tu aime sentir le vent contre toi.

Il prit l'un des casque du mini coffre et lui mit sans lui demander, il le fit doucement de maniere à ne pas lui faire mal et s'assis sur le scooter.

-Hum accroche toi au scooter comme tu veux, mais je en suis pas habitué a sentir une femme prés de moi alors ne t'accroche pas à moi sa me generais bien trop.[/i]

(A noter: il parle d'elle comme une femme et non comme une Neiko)

Invité

C'est qu'il parlait beaucoup pour ne dire que très peu de chose. Se fut bien là la pensée de la Neiko alors qu'elle n'écoutait que d'une oreille tout le blable de son nouveau maaître, qui ne semblait pas vraiment avoir le panache d'un maître d'ailleurs...

Se fut lorsqu'elle sentit le casque s'enfoncer sur sa tête qu'elle revint bien vite à la réalité. Grognant de mécontentement, elle arrangea le casque et suivit Dellios jusqu'à une sorte de mini-moto qu'elle n'avait jamais vu. Fallait dire qu'elle avait passer la majorité de sa vie enfermer ou en montagne.

- C'est pas dangereux ce truc. dit-elle en regardant le véhicule avec prudence. Il a pas l'air d'être solide.

Pourtant, Dellios monta dessus et lui dit d'en faire de même.

* J'aimerais encore mieux marcher... *

Toutefois, elle jugea préférable de faire taire ses craintes par fierté et monta sur l'étrange machine en faisant attention de ne pas toucher Dellios. Cependant, elle se retrouva à chercher un endroit où se retenir. Ne sachant où s'aggripper, elle décida d'aggripper le bord du siège et de serrer les jambes un peu plus sur le véhicule.

- C'est sécuritaire au moins? demanda-t-elle, en se préparant à sauter à la moindre réponse négative.

Invité

Zara lui dit avec un ton inquiet:

Zara: C'est pas dangereux ce truc. dit-elle en regardant le véhicule avec prudence. Il a pas l'air d'être solide.

Dellios ne dit rien et continua de la fixer.

*Elle doit pas avoir l'habitude...*

Toutefois,Avec un air fier, la jeune Neiko monta sur le scooter de Dellios, ce qui le fit sourire.

*Au moins sa fierté lui fait perdre un peu de sa peur...*

Cependant, Zara se retrouva à chercher un endroit où se retenir.Elle avait l'air un peu destabilisé et fini par s'agripper au bord su siege et a resserrer ses jambes un peu plus sur le véhicule.Elle dit ensuite:[/i]

Zara: C'est sécuritaire au moins? demanda-t-elle, en se préparant à sauter à la moindre réponse négative.

Dellios se retourna et en souriant il pris les mains de Zara et les posa sur son torse.

-Je prefere que tu te tienne contre moi finalement sinon tu vas tomber, surtotu que t'as pas l'habitude,serre ton corp contre mon dos et pousse mon ventre vers toi, comme ça tu tombera pas.

La Neiko s'executa apapremment un peu embarassé et Dellios rougit sous son casque.

-Hum.....J'ai aps l'habitude d'etre dans les bras d'une fille, mais c'est pas ça qui va me gener dans la conduite....A part si tu descend les mains trop bas Embarassed

Il tourna la clef et ils partirent, lui concentrer sur la route (mais rougit quand meme comme une tomate) et elle se serrant contre lui.

Maison de Dellios (mais rep ici avant et à al fin de ton message met egalement

Maison de Dellios ^^)

Invité

Décidément, ce maître était bien étrange. Le simple fait de le toucher le faisait rougir. Quoiqu'embarasser par un tel contact, elle ne le connaissait que depuis quoi? Une heure? Zara suivit les directives à la lettre de l'humain en faisant attention de ne pas trop serrer histoire qu'il n'étouffe pas et qu'ils aient un accident.

- J'aime quand même pas ce truc. marmonna-t-elle tout bas.

Lorsque Dellios démarra et partit, Zara en oublia toute fierté et s'agrippa le plus possible à son maître en plantant ses griffes dans ses vêtements, mais, heureusement pour lui, pas dans sa peau.

Se retenant de ne pas laisser un faible cri de terreur franchir ses lèvres, Zara ferma les yeux et se concentra sur sa respiration. Si elle avait le malheur d'ouvrir de temps en temps les yeux, la vitesse et le vent sur son visage lui donnait mal au coeur. Décidément, elle n'était pas faites pour ce genre de moyen de transport. Une voiture donc on ne sentait pas la vitesse était beaucoup mieux.

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» Une petite princesse du haut de sa tour d' ivoire