Arrivée de Malice

La voiture avait roulé pendant une bonne demi-heure, parcourant les rues sales d'Olphera, jusqu'au somptueuse demeure de l'avenue de la Rosée, là où habitait Kahir.
Il l'avait posé à côté d'elle du côté passager, l'attachant bien empêchant tout ses mouvements, et pendant tout le voyage il s'était amusé à la toucher, à tout les endroits les plus intimes, ne faisant pas attention à ses légère plaintes, elle avait la peau d'une douceur qui le faisait frissoner, et il ne s'arrêter pas de faire vagabonder ses doigts sur ce corps si attirant.

Il avait fait une bonne affaire avec elle, car bien qu'étant revenue dans la normale de la richesse, il restait les fond de tiroir de la famille O'Brock, et autant dire que l'une des familles pionnières en matière d'esclavage, et surtout propriétaire de l'hôtel le plus luxueux d'Olphera, avait des fond de tiroir gros comme des camions. Il s'arrêtèrent devant la grille menant au parc, Kahir arrêta de la caresser avec un certain regret pour aller ouvrir le portail en faïence verte qui semblait datée d'une autre époque, ce qui était le cas, elle grinça, peut être aussi lugubrement que son propriétaire qui détestait ce bruit de métal rouillé.

Il remonta dans la voiture, et arriva alors devant l'immense villa des O'Brock, un joyaux de l'architecture des début d'Olphéra, ancienne gloire d'une ancienne famille noble, noble dans tout les sens du terme, aussi bien au niveau financier, qu'au niveau de la bien scéance, mais cette époque été depuis longtemps révolue, et aujourd'hui cette famille si noble en était arrivée là, à un héritier seul, qui avait été violé par sa mère étant petit, et qui l'avait tuée pour se venger.

Il sorti, et tira sur la laisse pour faire sortir l'hybride de la voiture, il la traîna presque jusque dans l'immense hall tapissé de rouge sombre, avec d'ancien tableau de ses ancêtres. Il l'amena dans des dédale de couloirs, et arrivé devant une petite porte à l'écart, il l'ouvrit, elle donner sur une minuscule pièce carré, le sol était entièrement recouvert d'un matelas assez épais, avec un entremâlas de couverture, elle pouvait déjà deviner ce qui se passerait dans cette pièce. Il chuchota alors tout près de son oreille, posant sa main sur ses fesses:

" Voilà où tu habiteras dès à présent, et lorsque tu auras appris a être sage, tu pourras dormir dans mon lit. Mais ne t'inquiète pas, je viendrais parfois dormir avec toi ici dans cette pièce, histoire que tu ne t'échappe pas lorsque j'en aurais fini avec toi."

Invité

Le trajet avait été un véritable calvaire pour Malice, qui n’avait même pu fait attention à la route qu’il empruntait. Quand à elle, elle s’était fait attacher, et ne pouvais même plus bouger. Malice ce sentait encore un peu oppresser par tout les liens qui la retenait, car être libre de ces mouvements était un minimum…et elle en était privé depuis bien trop longtemps à son goût. Pire encore ! Elle ne pouvait même pas se défendre !

Car les mains un peu trop baladeuses de l’Humain lui donnait la nausée. Elle lui rappelait trop le gros porc qu’elle avait eut comme premier maître. Les Humains étaient donc tous pareil, des êtres vils qui ne méritaient plus que les Hybrides d’être traité comme des animaux ! Attacher, elle n’avait pas d’autre choix que d’attendre. Mais elle se débattait quand même, mal à l’aise, et dégoûter par ces mains qui la touchait. Un simple contacte avec cet homme l’écoeurais…

Quand à lui, il semblait ravi. Par ce qu’il lui faisait où par sa réaction ? Elle n’en avait aucune idée et ne préférait pas savoir…Lorsque enfin la voiture s’arrêta Malice fut soulager de sentir que les immondes caresses avaient aussi cesser… pour le moment. Mais elle n’avait pas l’intention de le laisser recommencer. Dès qu’il fut sortit de la voiture, elle se débattit comme une furie, tentant de défaire les liens qui semblaient ce resserrer lorsqu’elle bougeait. Et finalement elle s’arrêta, étouffant presque… Malice regarda alors à l’extérieur. Elle n’avait aucune idée de l’endroit où elle se trouvait. Et comme elle n’avait pas pu suivre la route du regard, Malice ne se repérait même plus.

Ne voulant pas céder à la panique, elle attendit patiemment que son maître revienne, et conduise la voiture devant la demeure, immense… Elle n’eut même pas le temps de souffler que déjà, elle fût tirée violemment en dehors de la voiture. N’ayant pas eu le temps de ce remettre sur ses jambes, elle fut traîner sur quelques mètres avant de se rétablir en grognant. Son cou lui faisait atrocement mal, et au coin de ses lèvres, le bleu commençait à ce former… A peine une heure et déjà elle ressentait les sévices de ce fou ! Tirant toujours sur son collier pour tenter de s’en débarrasser, elle devait courir a moitié pour ne pas se faire étrangler de nouveau.

Bientôt, ils arrivèrent dans une pièce étrange, que Malice détailla avec inquiétude. Les matelas à terre et les couvertures si dessus dessous ne lui plaisait guère, et elle ressentait une chose vraiment étrange, une tension criarde… Soudain, l’Hybride senti les main de l’homme ce posé sur ses fesses et celui-ci se rapprocher d’elle pour lui chuchoté des paroles alarmantes… Prise de panique, Malice ne pris même pas le temps de réfléchir et se retourna violement sa main balayant le vide pour s’écraser sur le visage de l’Humain. Sous le choc, il lâcha la laisse.

Ni une ni deux, l’Hybride bondit vers la première porte qu’elle vit…

La claque résonna dans le couloir, mais avant que l'Hybride puisse voirle visage de son nouveau maître se durcir avec un sentiment de jouissance entremêlée. Ses sentiments étaient mélangé entre colère et plaisir, les sévices qu'avaient fait sur lui sa mère s'étaient tellement ancré en lui que la violence était à présent un facteur de plaisir, tout cela palgré lui. Lui qui n'avait put avoir d'enfance heureuse, ne permettrait pas que cette hybride soit heureuse, il était convaincu qu'elle pouvait être dréssé et qu'à partyir de là, cette objet secuel serait parfait pour accomplir ses moindres désirs.

Il la regarda s'éloignait un moment avant de penser à la poursuivre, puis elle ouvrit la porte la plus proche, quelle ne devait pas être sa surprise, lorsqu'elle vit que c'était la même pièce qui lui était réservé. Mais celle si était encore plus sombre et inqiuètante, toujours ce même matelas couvert de tâches blanches suspectes qui indiquaient parfaitement les immondes orgies qui s'étaient passé à l'intérieur. Sa mère l'avait même enfermé dans l'une d'elle un jour, car il s'était rebellé, et il avait été violé par elle pendant plus de deux jours entier, où il mourrait de faim, pleurant des larmes de désespoir face à cette folie.

Mais la salle devant laquelle se trouvait l'hybride était pire encore, car au mur se trouvait des lien, des câînes, elle était réservée aux hybrides rebelles, on les y attachait pour les calmer, et Kahir se demanda pourquoi il n'y avait pas pensé plus tôt. Et d'un mouvement rapide, il la poussa à l'intérieur. Elle se débattit bien sûr, de toute ses forces même, mais ces forces étaient loin d'être l'égale de ceux de Kahir. Il l'attacha a ces liens si froid et dur, et se releva s'éssuyant le front de sueur, et dit amusé:

" Si tu m'avais dit plus tôt que tu préféré être attachée, je t'aurais écouté, petite conne! Alors tu vois, maintenant, tant que tu ne seras pas calmée, tu resteras attaché ici, et tant que tu ne seras pas soumise comme tu te dois de l'être tu ne mangeras rien!"

Puis attiré par cet instinct animal qui le poussait toujours a faire ces choses horribles, il s'allongea près d'elle, détaillant ses habits avec ne certaine volupté malsaine, seule les jambes de l'hybride pouvait encore mouvoir, et il commença à caresser sa cuisse avec une douceur perverse qui n'était nullement une douceur affectueuse mais plutôt mal placée vu la situation, puis il lui dit:

" Je vais t'apprendre à aimer ces caresses, tu vas m'adorer parce que je te nourrirais, et si tu te rebelle, je te frapperais encore et encore! Et ça, c'est pour ta tentative de fuite"

La réaction ne se fit pas attendre, et Kahir la frappa deux fois, fortement au visage, le visage durcit par la haine, un visage ressemblant à celui de sa mère si détestée. Puis son autre main continuait à lui caresser ses cuisses.

» Malice