En attente d'un maître...

La réserve des esclaves n’était pas vraiment un lieu agréable à vivre. Il n’y avait que des sortes de petites cellules à barreaux où étaient emprisonnés chacun des esclaves qui étaient en vente. Des aristocrates, des personnes très riches ou alors simplement des gens qui avait envie d’un esclave, bref, de nombreuses personnes aux différents statuts parcouraient la pièce l'une après l'autre au courant de la journée, examinant chaque personne dans chaque cellule afin de trouver ce qui lui conviendrait le plus. Certains esclaves avaient de la chance, et tombait sur un gentil maître qui allait sûrement l’aimer comme son égal ou bien s'en occuper, mais d’autres tombaient sur des maîtres sadiques, effrayants, qui n’allaient vraiment pas se gêner pour profiter entièrement de leur esclave. L’ambiance n’était pas à la rigolade, les esclaves ne discutaient vraiment pas entre eux. Ils attendaient seulement leur tour, le jour où ils allaient enfin sortir de cette cage, pour le meilleur ou alors pour bien pire.

C’est ici, dans l’une des cellules du fond de la réserve, que se trouvait une jeune fille de 24 ans à peine, avec de longs cheveux brun aux boucles frivole, vêtue d'un haillon marron. Les yeux vairons de Sylwiné fixaient le haut de sa cellule, jetant de rapide coup d'oeil de tant à autres pour voir les acheteurs potentiels passer devant la cage. Certains esclaves avaient été choisis avant elle, mais il en restait bien d'autres encore. La jeune fille se mit le dos contre les barreaux puis finalement s'endormit par fatigue, brisé par les émotions. Elle avait tous perdus…tous en si peu te temps et le souffrance ce lisait sur les jolie trait de son visage encore meurtrie par les brûlures de son ancien maître. Elle semblait endormis et portant ce n’était pas le cas…

Vendeur: Hey toi! Réveille-toi! Et prend ça!

Sylwiné venait de sursauter, à cause du vendeur qui était en train de faire la tournée nourriture. En effet, des esclaves squelettiques ou à moitié malades ne lui rapporteraient pas grand chose. La jeune fille, qui s'était cognée la tête, mis la main gauche à l'endroit où elle allait bientôt avoir une bosse, et tendit l'autre pour prendre la nourriture que lui avait donné le vendeur. Puis elle commença à manger avec peu d'enthousiasme. Elle n’avait pas faim, mais si elle ne mangeait pas, elle aurait vite des nouvelles du vendeurs qui n’était pas un homme très doux…

*Bon ben bon appétit comme on dirait normalement*

Le repas était toujours aussi infect, mais au moins. Elle se demandait même si ce qu'il leur servait n'était pas des vieux restes qui dataient de plusieurs jours. Rien qu'à en voir la couleur cela pouvait en faire pâlir plus d'un. Mais en tant qu'esclave, elle n’allait pas faire la fine bouche! C'était déjà mieux que les souris qui traînaient dans la réserve.

Zack arriva à la réserve d'esclave. Comme toujours habillé entièrement de noir, pantalon noir et chemise noire avec une veste noire aussi.

Un homme se dirigeât vers lui, sûrement le propriétaire.

"Bonjour monsieur, que puis-je faire pour vous?" Fit l'homme.

*Question idiote si on viens ici c'est pour un ou une esclave.* Se dit le jeune homme. Il regarda le marchand d'esclave et répondit:

"Je viens pour une esclave."

"Bien sur bien sur. Suivez moi." Répondit l'homme.

Zack suivit l'homme en regardant les esclaves dans des cages. Il ne comprenait pas pourquoi on enfermait des humains dans des cages. Il vit une jeune femme, elle avait l'air brûlée au visage mais elle était assez jolie en dépit de ses brûlures.

"Ouvre cette." Ordonna t'il au vendeur qui s'exécutât.
Zack s'approcha de la jeune femme.

"Allez lève toi et dit moi comment tu t'appelle." Dit t'il a la jeune femme.

Sylwiné ne savait pas combien de temps elle avait attendu dans cette réserve lorsqu’une énième personne entra. Comme pour chacun des nouveaux venus, la jeune femme releva doucement la tête, jetant un regard furtif sur la personne avant de la laisser retomber lourdement. Cette fois, il s’agissait d’un jeune homme, qui paraissait malgré ses traits jeunes, d’une grande maturité.

Elle le délaissa lorsqu’un des vendeurs commença à se diriger vers lui, pour lui proposer ces meilleurs « produits » sans doute… Les yeux dans le vague, elle resta sans écouter ce qui se passait autour d’elle, trop perdu quelque part dans son esprit. Mais elle fut bien vite arracher à ses pensées…puisque le vendeur qu’elle avait aperçu un peu avant avec le jeune homme venait d’ouvrir sa cage.

Elle jeta alors un regard interrogateur vers les deux, sans même bouger. Le jeune homme blond était bien là, et il lui parlait. Sylwiné l’écouta distraitement, puis rétorqua d’une voix faible sans même le regarder, fixant devant elle inlassablement :

« C’est à toi de te présenter puisque tu viens par toi-même. Un gentleman n’agirait pas de la sorte… »

Mais savait elle exactement ce qu’un gentleman était après tout ? Certainement pas. Mais si cela pouvait retarder sa vente alors pourquoi ce priver de ce mot qui sonnait si bien dans la phrase d’une esclave…

Zack sourit, elle avait de la répartie et sa sa lui plaisait. Il ne voulait pas d'une esclave ne sachant dire que oui et non, a la longue se serait lassant.

"D'accord. Je m'appelle Zack Crow." Il la regarda et vit qu'elle était vraiment brulée au visage.

"Alors comment t'appelle tu?" Redemanda t'il. Il se demandait comment elle avait été brulée mais il n'allait pas le lui demander, il ne voulait pas être indiscret.
Il se pencha et lui fit relever la tête.

"Regarde moi et releve toi." Dit t'il en la regardant dans les yeux.

Il fallait l’avouer, Sylwiné ne s’était pas attendu à une réaction si humble de la part de ce jeune homme, qui d’ailleurs se nommait Zack. Elle sentait son regard sur elle, mais ne tiquait pas une seule seconde, concentrer sur le point qu’elle fixait devant elle. Sylwiné n’était du genre à faire ce que les autres voulais qu’elle face. Au contraire…

Mais finalement, était ce bien raisonnable ? Si elle continuait à regretter tout ceux qui s’intéressait à elle pour ne pas être acheter, comment finirait elle ? Certainement pas libre. Le meilleur moyen de l’être était de feindre. C’est ainsi qu’elle répondit à la question de l’homme, tournant légèrement la tête vers lui, mais baissant toujours le regard pour ne pas croiser le sien.

« Sylwiné… Mon nom de famille étant faux je ne vois pas l’intérêt de vous le donner »

Et elle ne mentait pas. Rien que d’y pensait, elle sentait son cœur ce resserrer. Mais ne le montra pas…comme toujours.

Zack soupira en voyant que Sylwiné ne voulait pas le regarder.

"Bon Sylwiné tu veux venir avec moi?" Demanda t'il. Il n'était pas du genre a donner des ordre a quelqu'un même a une esclave.

En attendant sa réponse il repartit vers le vendeur, même si elle disait non il allait l'achetter. Elle était jolie, mais sa il s'en fichait un peu et surtout elle avait de la répartie.

"Combien pour elle?" Demanda t'il au vendeur.

Le vendeur lui donna le prix et Zack attendit la réponse de Sylwiné pour payer.

A la question de Zack, Sylwiné haussa un sourcil. Emme était étonner qu’il lui demande son avis. Certes elle n’avait jamais été achetée auparavant, étant née directement au service d’un maître. Mais elle ne s’était pas attendue à cela.
Le temps qu’elle ne réagisse et lever enfin les yeux vers lui, il était partit vers le vendeur. Il avait vraiment l’intention de l’acheter si elle le lui accordait ?

Secouer, elle se redressa légèrement pour voir Zack demander le prix au vendeur. Sylwiné détestait avoir un prix, mais sa condition ne lui permettait pas contester. Pourtant elle en avait envie. Mais peut importait. Zack attendait sa réponse, et malgré sa tristesse, il fallait qu’elle prenne une décision. Mais ces actes dépassèrent sa pensé au moment ou elle se leva de sa cage, les dents sérer.

Elle ne se rendait pas encore tout à fait compte de la chance qu’elle avait. Elle tira doucement sur le haillons qui l’habillait pour cacher ses cuisses toute dévoiler. L’air tendu, elle fixait Zack, et lui adressa un bref signe de tête. Et celui ne voulais pas dire autre chose…il avait son accord…

Il regardait Sylwiné et fronca les sourcils en voyant les haillons qu'elle portait. Il faudrais lui en achettait, pas question qu'elle garde sa comme vétément.
Il sourit en voyant qu'elle aceptait.

Le jeune homme tendit l'argent au vendeur puis il se tournat vers Sylwiné.

"On y va." Dit t'il.
Il attendit qu'elle le rejoigne et en profitat pour lui posé une question.

"Quel age a tu?"

Sylwiné attendit patiemment que Zack l’achète. Elle aurait voulu crier, mais puisqu’elle était une esclave, une vraie à présent elle devait ce plier un minimum aux règles. Surtout ci s’était pour être libre ensuite… Puis enfin, il se retourna vers elle et lui proposa de partir. Elle jeta alors un regard menaçant, celui qui l’avait tant brusqué avant de rejoindre son nouveau maître.

Sylwiné détestait cette situation, mais avait elle le choix ?

Enfin, elle était sortit de cette maudite boutique. Au moment même où elle ouvrit la bouche pour remercier Zack, celui-ci lui demanda son age et elle répondit inconsciemment :

« 24 ans»

Puis elle se tu un instant, ce mordit les lèvres laissa échapper :

« Merci… »

Ah elle était plus vielles que lui, bon ce n'était pas grave. Il allait lui dire son age quand elle lui dit merci.
Il la regarda et lui dit:

"Merci pour t'avoir sortie de la?" Demanda t'il, sans attendre la réponse il continuât.

"J'essayerais de te trouver des vêtement parce ce que tu porte actuellement." Il se tut et attendit qu'elle dise quelque chose.

Le jeune homme se dirigeât vers la sortie suivit pas Sylwiné.

Sans même sourire, elle l’avait remercier. Sylwiné n’avait pas l’air sincère, et pourtant elle l’était. Cependant, Zack sembla la comprendre… c’était déjà sa. Il lui avait emboîter le pas et était a présent sortit. Elle n’en revenait pas. Comment pouvait elle marcher dans les rues ainsi alors qu’elle n’appartenait même pas à elle-même ?

Elle n’avait jamais eut l’impression d’être une esclave…sauf cette fameuse nuit…

Chassant cette pensé de sa tête pour retenir ses souvenirs et en même temps garder sa souffrance au fond d’elle-même, Sylwiné se concentra sur les paroles de son nouveau maître pour s’éloigner le plus possible de son ancienne vie :

« Oui…de m’avoir sortie de sa… »

Elle avait parlé d’une toute petite voix, ravalant ses émotions… Elle fut encore plus étonner au moment où Zack lui déclara qu’il trouverait des vêtements pour elle. Jamais elle ne se serait attendu à trouver un maître si…Humain. Pour elle ils n’étaient tous qu’une ribambelle de sans cœur. Elle ne le remercia pas, voulais éviter de faire preuve de trop de gratitude, puisque après tout, elle restait une esclave…
Elle changea donc de conversation et lâcha presque insolemment :

« Alors…qu’allez vous faire de moi à présent ? »

Lui acheter des vêtements, la réponse lui avait bien fermé le clapet pour cette fois, et Sylwiné, presque honteuse baissa doucement la tête. Elle avait la chance d’avoir un maître qui ne la traiterait certainement pas comme le précédent…même si elle avait été séparée de son aimé. Alors pourquoi gâcher cette chance ?

Zack pensait à elle, à ses vêtements, même il voulait qu’elle se familiarise avec les lieux où elle vivrait désormais. Ce ne devait pas être tout les maîtres qui offrait cette chance là aux esclaves qu’ils achetaient !

Alors Sylwiné décida de baisser le feu. Pas entièrement, juste d’un cran afin de ne plus paraître acre. Elle regarda son maître et le suivit, tout en continuant de tiré sur son haillon pour éviter de tout dévoiler et jetant des yeux sauvages aux gens qui la déshabillaient trop du regard. Elle n’était pas libre, mais au moins elle ne serait peu être pas trop mal traiter…en attendant.


[Je te laisse poster au magasin de vêtement ou je m’en charge ?]

Le jeune homme sourit en voyant Sylwiné baisse la tête, elle n'avait certainement encore jamais eu un maître comme lui.
Il partit directement pour aller a la boutique de vetement, il regardait de temps en temps deriere lui pour voir ce que Sylwiné faisait et il voyait qu'elle tirait toujours sur son haillon.
Il voyait aussi que certains regardait Sylwiné en la deshabillant du regard.

[hj: je le fait.]