La bibliothèque

Invité

[hrpg:Kai est une arme qui contient un esprit. Il se peut qu'il parle télépathiquement à Vorodill. Dans ces cas-là, il parlera de cette façon:**Message**.]

Laissant sa Neiko à la maison, Vorodill était venu sur son nouveau lieu de travail. Il n'avait jamais imaginé être un jour responsable d'une bibliothèque, mais il avait choisi ce boulot pour deux raisons: l'une était qu'il aimait les livres, et la deuxième, c'est qu'il aimait aussi le calme et le silence... Alors, voilà où il se trouvait. Mais c'est alors que le sabre Kai, qui se trouvait à sa ceinture, parla.

**Kai:Hoooula! C'est grand ici!**
*Tu as toujours besoin de faire un commentaire?*
**Tu ne me parles jamais. Je m'ennuis tout seul moi...**

Sa petite conversation avec Kai terminée, Vorodill observa la bibliothèque. Elle avait un haut plafond est des quelques dizaines d'étagères de livres. Les tables où l'on pouvait lire étaient au milieu de l'énorme salle. Le samouraï se trouvait à l'entrée et pouvait déjà voir son bureau sur la droite. Il se dit qu'il ne resterait pas assis toute la journée à faire semblant de faire quelque chose. Vorodill préféra flâner dans les allées...

Invité

Encore un fois la jeuen femme s'était échapée en effet on ne peu pas dire qu'elle avait fuguer puisque de toute facon elel rentrait dans la maison du maître qui l'avait acheter même si elle savait parfaitement bien qu'elle allait se faire battre, mais elle s'en fichait le sentitment quelque instant de se sentir libre était le plus important.

Oui se sentiement était celui qui la faisait vivre, depuis des années, se sentiement qui dés qu'elle le pouvait elle l'éprouvait, marcher dans les ruelles, sa canne noir lui servant de guide c'était sublime, surtout que ces cheveux blanc cacher sous un chapeau et des lunette cachant ces yeux multicolore elle pouvait se faire passer pour un humain.

Soudain elle sentit un odeur particuliére celle des livre, l'odeur de papier, et d'encre mélanguée, oui elle était proche d'une bibliothéque sans hésiter elle se diriga, car même aveugle, elle savait qu'elle pourrait peut être trouver quelque chose qu'elle pourrait livre, des livres en relief ou encore mieux en braille.

Dans sa ville natal, il y avait des compteur qui chaque jour a la même heures faisait la lecture, au plus jeune et au moin jeune, peut être qu'ici elle pourrait aussi entendre cela.

Bref doucement la jeuen femme monta les marche, caluculant chaque marche grace a sa canne, au moment d'entrer elle enleva son chapeau et ces lunettes, temps pis si on la reconnaissait pour ce qu'elle était, mais la politesse était ce qui la faisait vivre.

Doucement elle poussa la porte et s'avanca sa canne claquant sur le sol devant elle, un superbe sourire apparu sur ces lévre et ces yeux se colorére de rose, l'odeur et le bruit de la bibliothéque oui elle adorait.
Doucement elle s'approcha des rayons, laissant ces main courire sur les livres, il faudrait qu'elle pense a trouver le bibliothécaire.

Invité

Depuis plusieurs heures déjà que Vorodill s'habituait à son nouvel environnement de travail. Il avait flâné des heures et des heures dans la bibliothèque, allant même aux étages supérieurs, là où d'autres étagères pleines de livres attendaient d'être lues. Ensuite, il s'était rendu à son bureau et s'était mis à l'étude des registres de livres. Quels auteurs, types de livres, archives et autres documents étaient situés. Le samouraï en eut une assez bonne idée après seulement deux heures d'étude, et Dieu seul savait comment la bibliothèque était grande.

Mais il apprenait. Quelques fois, il avait dû s'occuper d'emprunts de livres et il maîtrisait parfaitement la technique à présent. Le point le plus dérangeant était toujours d'apprendre le classement des livres, ce qui était un travail colossale qui prendrait des années (s'il restait à cet emploie pour des années). C'est alors que Vorodill remarqua une jeune femme qui tenait une canne venait d'entrer dans l'établissement.

**Elle est plutôt étrange... elle est aveugle tu crois?**
*Mais qu'est-ce que tu penses? Elle est trop jeune pour se servir de cette canne comme appuie. Bien sûr qu'elle est aveugle...*
**Alors que fait-elle dans cette bibliothèque?**
*Elle doit chercher des livres écrits en braille.*
**C'est quoi?**
*Disons que c'est un moyen de lire pour les aveugles. Le braille. Cela se fait au toucher au lieu de la vue.*
**Intéressant... tu vas la draguer?**
*Mais tu ne penses qu'à ça!*

C'est alors que Vorodill vit qu'elle s'approchait des rayons. Si elle cherchait un livre en particulier, elle ne le trouverait jamais. Elle était aveugle tout de même. Mais c'était ses cheveux blanc qui l'intriguait. De toute façon, ce détait n'était pas très important. Il s'approcha d'elle, portant toujours Kai à la ceinture.

''Puis-je vous aider mademoiselle?''

C'est alors que quand il était devant elle, il remarqua que ses yeux étaient... multicolore. Mais Vorodill ne s'y attarda pas. Ses yeux étaient rouge. Pourquoi s'énerver pour ceux de cette belle femme?

Invité

La jeuen femme marchait doucement, sa main sur la couverture de livres était un vrai plaisir, pour elle la lecture était plus qu'un passe temps c'était un vrai passion, chaque couverture de livre racontait un histoir, soit bonen soit mauvais, cela c'était laisser a l'imagination de la jeune fille et a ses doigts fin.
Oui elel aimait le contacte rugeux des vieux livres lut tems de fois qu'il paraissait rider, ou alors des livres fraichement sortir de l'imprimerie, doux au toucher et fleurant bon l'encre.

Bref la jeuen femme se sentait au paradis, de plus le silence qui régnait dans ces lieux était un vrai plaisir, pas de cris, pas de plainte, pas d'ordre elel adorait cette ambiance srudieuse et calme.

Quand elle entendit un voie prés d'elle la jeuen femme eu un sursaut et ces yeux prirent un étrange couleur gris bleu, la couleur d'un certain forme de peur, celle d'avoir fait un bêtise, en étant entrer dans un batîment peut être interdit au hybrides.

Doucement elle passa un main dasn ces cheveux blanc, laissant voir un de ces oreilles pointue, trés semblable a celle d'un elfe.

Puis elle leva ces yeux qui avait maintenant un couleur violette sur le visage de l'homme, temps pis si elle faisait un bêtise la pesectuive de pouvoir lire un livre , de pouvoir en toucher un.

" En fait je voulait savoir si vous aviez des livre en braille, ou alors tous simple des livre don les lettres son en relief."

LA voie de la jeuen femme était mélodieuse, comem toujours même quand elleparlait elle donnait l'impression de chante, et même si sa voie était légérement timide, elle était parfaitement audible.

" J'espére que les hybrides ne son pas refuser dans cette bibliothéque?"

Encore un fois la jeuen femme passa un main dasn ces cheveux et encore un fois ces yeux avait changer de couleur pour devenir presque pourpre, de géne.

Invité

**Ha! Alors c'est une hybride! Ça explique tout! Du moins ses cheveux et ses yeux.**
*Tu es si perspicace...*
**Merci merci!! Bon, allez! Réponds-lui!**

Vorodill soupira. Il était exaspéré du caractère de Kai, qui n'arrêtait pas de dire n'importe quoi. Une chance qu'il était emprisonné dans ce sabre et qu'il ne pouvait bouger à sa guise à l'aide d'un corps. Il aurait mit la pagaille partout. Reportant son attention sur la jeune ''Hybride'', Vorodill l'observa un peu mieux. Et il se dit que plusieurs personnes devaient la désirer. Une aussi belle femme... mais se rappelant à la réalité, il répondit à la question de la jeune femme:

''Nous avons plusieurs rayons réservés à des livres écrits en braille. Et puis, d'après le rêglement, les Neikons et hybrides sont interdits dans cette enceinte...''

Le samouraï savait que c'était cruel de dire ça. Elle devait être contente de venir dans cette bibliothèque, pour probablement profiter du silence et du calme tout comme lui. Mais il sourit tout de même. Vorodill était le nouveau responsable de la bibliothèque municipale après tout, non?

''...enfin, c'était jusqu'à ce que je sois responsable de cet endroit. À partir de maintenant, tout le monde y est accepté. Venez avec moi. Je vais vous aider.''

Et pour ne pas lui faire peur, Vorodill lui saisit délicatement la main gauche, celle qui ne tenait pas la canne. Le samouraï la traîna à travers les rayons. Et, ne voulant pas la mettre mal à l'aise, il dit pour détendre l'atmosphère; tout en continuant à marcher:

''Je m'appelle Vorodill Da'Boléro. J'ai dix-huit ans et je suis samouraï. Cela ne fait pas beaucoup de temps que j'aie le poste de responsable de la bibliothèque, mais j'adore cet endroit. Aurais-je l'honneur de connaître vôtre nom?''

**(sifflement)... tu te débrouilles bien... tu vas l'emmener dans la réserve lui faire des calinoux?**
*Comment fais-tu pour être un pervers alors que tu es emprisonné dans ce sabre? Une chance qu'elle ne peut pas t'entendre...*
**Je ne suis pas pervers... seulement un peu observateur.**
*Alors arrête de la mâter.*
**Oui m'sieur!**

Ils venaient d'arriver à la section réservé pour les livres en braille.

Invité

Kya se demanda un instant pourquoi l'homme avait soupirer son instinc lui disait que se n'était pas a cause d'elle, mais a cause de quoi alors car si ce qu'elle entendait était juste il avait tré peu de monde dans la bibliothéque a par eux.
Un instant elle eu un peu panique, qui se réleva par un couleur noir dan ces yeux, que le bibliothécaire , puisse l'agresser, ce a quoi elle n'aurait put rétorquer puisqu'elle n'était qu'un hybrides, qui mlgré tout tenait un temps soit peu a la vie.

Son étrange regard pris des couleur, grisatre ; beige quand elel entendit que les hybrides et les Neiko était interdit dans la bibli, mais pourquoi ces idiot d'humains, voulait t'il les priver de tous leur passe temps, lire ne leur apportait rien qu'un peu d'espoir un peu de paix. C'est peu être cela, car lire c'est s'échapper le temps que les page défille sous vos yeux, et pour elle sous vos doigts.

Un superbe sourire apparut sur le visage d'albatre de la jeune fille et ss yeux prirent un couleur rose-rouge, elle pouvait rester, et de plus il allait l'amener dans la section qu'il fallait, mon dieu c'était le paradis, elle devait rêver, elle qui avait cru que rien ne pourrait lui arriver de bien, depuis qu'elle avait été achetée et bien elle se trompait.

" Merci"

LA jeuen femme avait prononcer se mots avec dans la voie un telle joi, qu'elle avait du mal a cacher, en effet pendant qu'elle marchait la jeune femme d'un pas guilleret qu'elle n'avait pas souvent, chacun de ces pas faisant voler la jupe de sa robe. Un robe bleu assez simple qui laissait ces épaules libres et dont le décoleté était légérer.

" Enchantée de vous connaître Monsieur Da'Boléro, je me nomme Kya Heschram.
C'est étrange de savoir que quelqu'un d'aussi jeune que vous s'occupe d'un aussi grand bibliothéque , vous en avez vraiment de la chance. Moi a 20 ans je ne suis rien."

Kya parlait toujours de se ton léger et chantant, comme si tous ce qu'elle disait était normale , pas de peines, pas de haine , juste un voie simple et distinguée.

" Monsieur, quand vous marcher il y a un bruit bizzar, vous avez quelque a la hanche, qui bouge, comme un objet en métal ou en cuir. Non?"

Invité

''Un objet?''

Vorodill regarda son sabre, Kai, qui pendait à sa ceinture, attentif à leur conversation. Il semblait être une simple arme exotique, mais personne ne se doutait qu'en fait un esprit y était enfermé, depuis longtemps déjà. Le samouraï fixa l'Hybride, et répondit toujours aussi pôliment:

''Oui, je vous ai déjà dit que j'étais samouraï. Ce que je porte est un sabre. Et je ne m'en sers seulement qu'en cas de besoin. Puis, vous pouvez m'appeler Voro.''

Ils continuèrent pour rejoindre les rayons qui n'étaient seulement qu'à quelques pas d'eux, et Vorodill lâcha doucement la main de la jeune femme. Il leva son regard vers elle et rajouta d'une voix calme et posée:

''Nous y sommes. Le côté des livres est écrit en braille. Vous n'avez qu'à les toucher pour lire les titres.''

**Tu as du charme, beau gosse!**
*Arrête un peu Kai.*
**Mais je t'encourage! T'as des préservatifs?**
*Non mais t'es chiant!*
**HéHé! Faudrait pas que tu te retrouves avec un enfant, non?**
*La ferme... je ne vais pas coucher avec elle.*
**Quel manque d'ambition...**

Après avoir fini sa ''discution'' avec son sabre, Vorodill laissa aller librement l'hybride aveugle se diriger vers les rayons. Tant qu'à lui, elle pouvait rester aussi longtemps qu'elle le voulait ici. Pendant qu'elle choisirait un livre, le samouraï s'assit dans un fauteuil non loin de là.

Invité

Un sabre elle n'en avait jamais sentit, des baton et autre objet de torture, bien sur elle les avait sentit sur sa peau le plus souvent mais de sabre personne ne s'en s'était servi sur elle. Encore heureux sinon elle se serait retrouvée coupée en petit morceau ou en nouriture pour chat. Percepective peu ragoutante, vraiment peu ragoutante.

Pourtant quand il lui dit qu'il était arriver , elle oublia tous, avec un pas des plus joyeux un grand sourire au lévre elle s'approcha des livres, comme par magie ces doigt courure sur les tranche c'était si agréable de se rapeller les lettres.
Ce doigt agille coururent sur les couverture, comme elle n'avait put le faire depuis si longtemps que cela pouvait être plaisant de lire.

Doucement sa main s'arréta sur un roman, elle ne l'avait jamais lut, si elle ne se trompait pas , il s'intitulait : Le clan des Otori. Un livre sur les samouraï, pourquoi pas, avec un sourire elle sortit le livre des rayon, mais continua doucement sa recherche, avec un autre sourire elle sortit un livre de poésie.
Les livres de poésie lui permetait de chanter même si les poéme n'avait pas vraiment de mélodie, elle les chantait quand même.

Toujours souriant elle se retourna, elle avait entendu ou l'homme s'était assis alors avec le sourire, elel se diriga vers lui.
Grâce a sa canne elle trouva un siége et sourit doucement en possant son livre sur la table.

" Est-ce que je pourrait rester un peu ici pour lire?"

Invité

''Vous pouvez rester dans cette bibliothèque aussi longtemps que vous le souhaitez Kya.''

Vorodill ne voulait pas vraiment savoir comment était sa vie. Mais elle attisait sa curiosité... en fin de compte, chaque femme qui lui plaisait attisait sa curiosité. Depuis que le samouraï était arrivé en ville, il n'avait rencontré et conversé qu'avec des femmes. C'était plutôt troublant. Pourquoi voulait-il aider les belles femmes? Parce que jusqu'à présent, il avait acheté une Neikon afin que celle-ci évite le viol.

**Je sais à quoi tu penses...**
*Kai! Arrête de fouiller dans ma tête!*
**Mais je le fais presque jamais!**
*Et bien, continu dans cette voix, et arrête ça! C'est impôli...*
**Je sais que tu es quelqu'un qui est plutôt indifférent à la vie des autres... mais il semble que ton point faible soit les femmes. Les belles femmes en fait. Tu es très galant, bien que tu ne veuilles pas l'admettre. Je ne t'ai presque jamais vu sympathique avec un homme...**
*Sauf avec toi.*
**T'appelles ça être sympathique?!? Bon... je dois avouer que c'est vrai. Mais j'ai toujours été ton seul véritable ami. Ami, dans le sens masculin. Les filles, t'as pas de problèmes... comme moi. On se ressemble un peu...**
*T'es un sabre. Comment veux-tu te débrouiller avec les femmes?*
**Mais j'étais vivant, il y a bien longtemps...**
*Oui...*

Coupant instinctivement à leur conversation, Vorodill et Kai retournèrent dans leur coin, si on pouvait le dire. Et puis, le samouraï tourna la tête vers Kya et l'observa. Il n'avait rien d'autre à faire, mais il aimait la regarder. C'était dommage qu'elle doive mener une vie si triste...

Invité

Aussi longtemps qu'elle le souhaitait, si seulement elle pouvait, mais elle savait trés bien que si elle retait trop longtemps dehors, et qu'elle ne rentrait pas quand son maître la chercherait elle se ferait masacrer, battre et tous ce qui suit, bref quelque petit chose pa trés amusante, la jeuen femme se perdit quelque seconde dans ses pensée, un légére sourire au lévre, toujours même quand ces pensée était des plus triste la jeuen femme souriait, comme si rien ne pouvait l'atteindre mais se sourire était sa défense, sa barrriére infranchissable, le signe qu'elle viviat et rêvait encore malgré tout.

Douccement elle ouvrit le livre de poéme pour oublier tout le reste, même si ici les conte et les légende était oubliée, que l'art perdait de sa beauté, pervertit par la luxure et le reste, la jeuen femme avait été élevé dans un maison ou l'on croyait encore au fée et au lutin, c'est pour cela qu'elle aimait tant les livres.

Lentement la jeuen femme laissa courire ces doigts sur les lettre, un sourire au lévres, pourquoi doucement d'abords car elle n'avait pus vraiment l'habitude de lire comme cela, mais trés vite tout lui revins et l'on put voir ces doigts danser sur ces lettres.
Elle sentait le regard de l'homme, normalement elle serait rentrée dasn sa coquille mais aujourd'hui elle s'en fichait un peu temps qu'il ne la frappait pas.

Comme souvent quand elle lit des poéme la jeuen femme ne peut s'empécher de les murmurer d'abords puis de les chantonner ensuite, de sa voie d'ange ou de siréne. Bref encore un fois elle se mit a chantonner comme si elle était seule, et autre par, voila son probléme des fois elle sort de notre monde pour partir dans le sien.

"Toute grâce et toutes nuances
Dans l'éclat doux de ses seize ans,
Elle a la candeur des enfances
Et les manèges innocents

Ses yeux, qui sont les yeux d'un ange,
Savent pourtant, sans y penser,
Eveiller le désir étrange
D'un immatériel baiser.

Et sa main, à ce point petite
Qu'un oiseau-mouche n'y tiendrait,
Captive sans espoir de fuite,
Le coeur pris par elle en secret. "

LA voie de la jeuen femme ne s'éléve pas c'est toujours un murmure presque indistinc pour quelqu'un qui n'a pas un bonne ouié, un douce mélopée un peu triste, qui peu résonner étrangement, encore un fois elle est sortie du monde, pour entrer dasn celui des muses.

"L'intelligence vient chez elle
En aide à l'âme noble; elle est
Pure autant que spirituelle :
Ce qu'elle a dit, il le fallait

Et si la sottise l'amuse
Et la fait rire sans pitié
Elle serait, étant la muse,
Clémente jusqu'à l'amitié,

Jusqu'à l'amour - qui sait ? Peut-être,
A l'égard d'un poète épris
Qui mendirait sous sa fenêtre,
L'audacieux ! Un digne prix

De sa chanson bonne ou mauvaise !
Mais témoignant sincèrement,
Sans fausse note et sans fadaise,
Du doux mal qu'on souffre en aimant. "

La jeuen femme se tait, puis porte une main a sa bouche et rougit doucement elle vient de remarquer qu'elle a chanter a mi voie dans un bibliothéte ou le silence est de misse, ces yeux se teinte de vert couleur de la génes, un vert foncée.

[Poéme de Paul Verlaine ]

Invité

''Vous n'êtes pas obligée de vous arrêter... vous chantez très bien...''

Pendant tout le temps que l'Hybride chantait, Vorodill était resté accroché à sa chanson, bouche bée. Le jeune homme n'avait jamais entendu quelque chose d'aussi beau, et étrangement, il aurait voulu que cela ne s'arrête pas. Enfin, pas maintenant. La voix douche et enchanteresse de Kya était si envoutante que pendant un instant, il avait oublié qu'il était à la bibliòthèque et qu'il devait travailler. Mais la jeune femme à ses côtés chantait trop bien pour qu'il parte à cet instant.

''Je vous jure que cela ne dérangera personne. De toute façon, il n'y a presque personne ici. La bibliothèque est presque devenue désuète aux yeux du monde. Au moins, vous, vous y apportez un peu de... lumière.''

**T'es devenu accroc.**
*Silence...*
**Comme je le disais. Accroc. Mais... elle chante très bien.**
*Alors fermes-la...*

Il n'en faut pas plus à Kai pour qu'il se taise. Vorodill retourna son attention sur Kya, qui avait étrangement les yeux vert foncé à présent. Et il savait à présent que la couleur de ses yeux dépendaient de ses émotions. C'était difficile à voir au premier cooup d'oeil, mais Vorodill venait juste d'y arriver.

Il espérait que la couleur de ses yeux changeraient encore, et qu'il puisse l'entendre chanter un peu à nouveau...

Invité

La jeuen femme redressa la tête, un sublime sourire au lévre, c'est vrai il lui permetait de chanter, il lui permetait de faire ce qu'elle préférait, encore plus que la lecture et tous le reste, chanter la faisait vivre et se sentir être, car sa voie lui appartenait a elle et lui permetait de s sentir libre le temps d'une chanson.

Le regard de la jeuen femme était a présent d'une belle couleur dorée, presque comme de l'or, l'or du plaisir, il y avait plusieur couleur de plaisir, comem il y a un floppée de sentiments, oui ces yeux reflétait ces sentiment et a ce moment il formait un contste étonnant avec les cheveux complétement blanc de la jeune fille.
Doucement elel referma le livre qu'elle avait ouvert, dasn sa tête dansait des centaine de chanson, qu'elle avait apprise et chanter a mainte repris.

Doucement elle se mit a chanter, encore ces rythme doux et mlancolique, si elle voulait, elle pouvait chanter de chanson joyeuse mais elle n'en avait pas envie.

"Poussière vivante, je cherche en vain ma voie lactée
Dans ma tourmente, je n'ai trouvé qu'un mausolée
Et je divague
J'ai peur du vide
Je tourne des pages
Mais ... des pages vides

Poussière errante, je n'ai pas su me diriger
Chaque heure demande pour qui, pour quoi, se redresser
Et je divague
J'ai peur du vide
Pourquoi ces larmes
Dis... à quoi bon vire

Mais mon Dieu de quoi j'ai l'air
Je sers à rien du tout
Et qui peut dire dans cet enfer
Ce qu'on attend de nous, j'avoue
Ne plus savoir à quoi je sers
Sans doute à rien du tout
A présent je peux me taire
Si tout devient dégoût "

LA jeuen femme laissait sa voie donner tous ces sentiment,come a chaque fois qu'elle chantait ces yeux prenait la couleur de l'arc en ciel, passant de sentiment en sentiment, avec ds fois une lueur de trsitesse mais chanter était ce qu'elle aimait plus que tous.

"Poussière brûlante, la fièvre a eu raison de moi
Je ris sans rire, je fais n'importe quoi
Et je divague
J'ai peur du vide
Je tourne des pages
Mais ... des pages vides

Mais mon Dieu de quoi j'ai l'air
Je sers à rien du tout
Et qui peut dire dans cet enfer
Ce qu'on attend de nous, j'avoue
Ne plus savoir à quoi je sers
Sans doute à rien du tout
A présent je peux me taire
Si tout devient dégoût"

LA jeuen femme laissa tomber la derniére notes doucement, comme souvent elle s'était laissée emportée dans sa chanson, et même si sa voie avait été quelque peu plus haute que la premiére fois, elle n'avait pas chanter de toute sa voies, mais on put voir perler un simple larme sur sa joue, en effet cette chanson lui faisait penser un peu a sa vie.

Invité

À la fin de la chanson, Vorodill était presque dans un état de transe. La chanson de la jeune hybride était si belle que même le plus beau des paysages n'aurait pu lui faire le même effet. C'était comme entendre un son étrange et nouveau, presque magique, flotter à ses oreilles. Et d'une certaine façon, cette chanson était magique. Non... pas tout à fait. C'était la voix de Kya qui l'était. Alors, Vorodill remarqua la larme sur la joue de la jeune femme.

Il se leva tranquillement de son fauteuil. Le jeune homme s'approcha de Kya, qui était toujours assis, et se pencha vers elle. Levant doucement sa main vers elle, il lui essuya le visage pour enlever la larme, et dit d'un ton calme et posé:

''Je ne peux pas vraiment vous aider afin de rêgler les problèmes de votre vie, mais... je peux être votre ami Kya. Et vous serez toujours la bienvenue ici. Alors? Ça vous va?''

Vorodill s'était relevé et se tenait devant l'Hybride. Il lui tendait la main, et il savait qu'elle s'en rendait compte. Sur le visage du samouraï se dessinait un léger sourire, sincère et réconfortant, même s'il savait qu'elle ne pouvait pas le voir. Mais elle pouvait tout de même ''voir'' sa main devant lui. Et elle avait besoin plus que tout de quelqu'un d'amical...

''Et puis... personne n'aura le droit de vous faire mal ici. Je le jure sur mon honneur.''

Invité

LA jeuen femme eu un légére sourire quand le jeune bibliothécaire, elle l'avait entendu mais comme souvent elle était partie das,n ces pensée dans ces souvenir, elle elle ne regardait pas en avant mais toujours en arriére ou alors dasn les étoiles mais jamais devant ce qui l'attendait.

Quand il lui toucha la joue la jeuen femme ne bouga pas pourquoi l'aurait t'elle fait , cete homme n'avait pas chercher a lui faire de mal, ni autre chose, non il était simplement doux et gentil avec elle, quand il parlait elle n'entendait pas certaine vibration dans sa voie, celle qui était trés reconnaissable.

" Mes problèmes sont le mien pour rien au monde je demanderait que l'on m'aide, je n'ai pas envie d'enmener des gens bien dans ce qui m'arrive."

Doucement la jeune femme possa sa main, un main fine, trés douce et blanche, depuis longtemps ces maître ne la faisait pas travailler, dans la main du jeuen homme.
Un main assez rugeuse, on sentait qu'il avait travaille a quelque chose, surement au sabre ou a l'épée car ces main n'était pas caleusse comme ceux d'un payssant.

" Je vous remercie de m'offrir votre amitiée, vous êtes un des premiére."

LA jeuen femme se leva doucement, ces yeux avait prit cette fois une couleur dorée et prangée, simplement car elle était heureuse de savoir que quelqu'un lui offrait son amitié, en elle même elle jurait de ne rien faire pour mettre cette homme dans l'embarra.

Doucement elle se dressa un peu sur la pointe des pieds et possa un léger baiser sur sa joue.

"Je sais que je viendrait souvent ici, dés que je pourrait m'échaper de la maison, sans rien risquer."

Invité

Vorodill était plutôt content. Elle acceptait d'être son amie sans pour autant vouloir lui faire de problèmes. Quels problèmes? Si le maître ou la maîtresse de Kya se pointerait, il ne voit pas ce qu'il ou elle pourrait lui faire. Lui faire perdre son emploie? Il existe pleins d'autres emploies dans cette ville. Et si on parle de se faire tabasser, le samouraï saurait se défendre. Alors, les problèmes que pourraient lui apporter Kya étaient la dernière chose qu'il avait à craindre. Mais ce qu'il préféra c'est quand Kya lui donna un baiser sur la joue. Il sourit.

**(sifflement admiratif), tu l'as fait!!! Bravo Voro!**
*La ferme! J'ai rien fait, c'est elle.*
**Mais c'est ton caractère qui a fait en sorte qu'elle te donne ce petit baiser. Alors, à présent, ammènes-la à la salle des archives! Calinoux, calinoux, calinoux...**
*Mais arrête! Tu ne penses à rien d'autre?!?*
**Je suis prisonnier de ce sabre. Que veux-tu que je fasse? Que je te donne des conseils de vieux sage? Alors en voici un: ammènes-la dans la salle des archives.
*J'abandonne. Tu es juste un pervers qui ne me laissera pas tranquille tant que tu n'auras pas vu ce que tu veux.*
**J'aurais cru qu'on pourrait parler un peu plus...**

C'est alors que Vorodill eut une idée. Il regarda Kya et lui dit doucement:

''Si vous aimez ce livre de poèsie, vous pouvez l'apporter chez vous. Vous n'aurez qu'à me le rapporter la prochaine fois que vous viendrez. Et aucun besoin de faire une carte d'emprunt. De cette façon, si on trouve ce livre, on ne pensera pas que vous êtes venu dans cette bibliothèque, et vous n'aurez aucun problème de la part de vôtre maître. Vous n'aurez qu'à dire que vous l'avez trouver Kya.''

Invité

LA jeuen femme sourit doucement, elle vi avaec plaisir que son petit geste d'amitié n'avait pas été mal pris a certain moment se simple geste était prit pour ce qu'il n'était pas et badaf la jeuen femme se retrouvait en mauvaise posture, se n'est pas vraiment de sa fautes, puisque jamais personne ne lui a apprit comment se comportait un hybrides, non elle avait été élevée comme un humaines tous ce qu'il y a de plus normale.

C'est simplement son caractére qui l'avait aidée a survivre, cette facilité a partir dans ces pensée, et a oubliée tous le reste, voila ce qui l'avait sauver de la folie, et puis presque jamais elle ne se rebellait et quand elle le faisait c'était toujours par la paroles et non aps le geste , ce qui lui avait permit de rester en vie aussi longtemp.

Les yeux de la jeuen femme prirent un teinte drée encore plus prononcée, elle pouvait rapporter le livre sasn rien crainte.

Sans vraiment réfléchir elle sauta au coup du jeuen homme et lui sourit.

" Merci , merci beaucoup, vous ne pouvez pas savoir le plaisir que vous me faites."

LA jeuen femme plaque encore un fois un baiser sur la joue de l'homme avant de se laisse retomber au sol et de rougir légérement.
Doucement elle passa un main dans ces cheveux, elle avait réagit comme un gamine, elle espérait ne pas trop l'avoir géner.

" Vous est vraiment gentil, j'ai rencontrer peu de personne qui font cela pour ceux qui son moin pourvut qu'eux."

Invité

Le jeune homme était plutôt satisfait. Il avait réussi à rendre heureuse la jeune femme, et c'est ce qu'elle avait le plus besoin. Car même si elle ne le montrait pas souvent, Kya devait être souvent triste de son existence. Mais Vorodill ne savait pas résister aux charmes d'une belle femme (sans pour autant être pervers comme Kai). Alors, la voyant rougir discrétement, il dit:

''Ce n'est pas du tout un problème. Et il ne faut vous sentir gêné. Vous pourrez me prendre dans les bras autant que vous voulez.''

Et en disant ça, il eut un petit rire, et eut un plus grand sourire. Son regard rouge s'était illuminé, révélant une gentilesse qui n'apparaissait pas souvent.

''Tant que vous restez dans cette bibliothèque, aucune personne ne pourra vous faire de mal.''

**Ce que t'es généreux...**
*Mais t'es pas possible!*
**Tu vas te décider à la prendre dans tes bras? Allez, allez! Calinoux!
*Bon, sérieusement, fermes-la. Tu te répète...*
**D'accord...**

L'autre chose que Vorodill aimait était regarder les yeux de Kya, qui changeait souvent de couleur. Et jusqu'à maintenant, il préférait la couleur or...

Invité

LA phrase qu'il avait prononcer était étrange ,savoir qu'il y avait un endroit au monde ou elle pouvait se sentir a l'abris, lui rapellait de souvenir qu'elle croyait enfui a jamais, des souvenir de sourire et de chant joyeux au coin du feu, dans la maison de son enfance elle était toujours a l'abris personne ne pouvait lui faire de mal, ces parent la protégait. MAis le destin avait voulut autre chose et elle avait été précipitée dans la tourmente.

Elle adressa un sourire lumineux au jeuen homme, c'était bon de se savoir cceptée comme on était avec ces défauts et ces quatlité mais surtout ces défaut, puisque l'on avait dit ét répéter a la jeuen femme, qu'elle n'était qu'un ereure vivant qu'elle n'avait le droit de vivre que si elle obéissait a tous les ordre.

" Je ne sais plus quoi dire, vraiment plus quoi dire."

LA jeuen femme se passa doucement un main dans ces cheveux.

" Vous me rapeller un des villageois de ma ville natal, une des seule personne a m'avoir accepter t'elle que je suis."

Kya se mordi légérement le lévre depuis ce douze ans elle n'avait plus pleurer mais elle sentait peu a peu les larmes lui monter au yeux.

" Je peut pleurer?"

Drôle question mais elle avait envie de la poser.

Invité

Il rappelait à Kya un des villageois qui la considérait normale? Vorodill y réfléchit... et se dit qu'il n'était sûrement pas le seul à penser comme lui. Dans ce monde, même à Olphéra; là où l'esclavage était parfaitement accepté; il devait exister des gens qui pensait comme lui. Mais la plupart ne s'occupaient pas des Neikos, Hybrides et esclaves. Leur vie était leur principal but, et les autres venainet après. Vorodill n'était pas d'accord avec cette attitude.

C'est quand elle demanda la permission de pleurer que Vorodill se sentit pris au dépourvu. Demandait-elle cela parce qu'elle croyait ''devoir'' le demander? Ou c'était parce qu'elle ne voulait pas le mettre mal à l'aise... Ni pensant pas trop, Vorodill garda le même sourire et répondit gentiment:

''Oui...''

**Maintenant... j'ai pas envie de rire...**
*Cela t'arrive?*
**Tais-toi, et occupes-toi d'elle...**

Oui, il avait raison. Alors, Vorodill s'approcha d'elle pour être à seulement une trentaine de centimètres de distance. Seulement si elle avait envie de le serrer dans ses bras. Car pleurer dans les bras de quelqu'un était moins gênant. Peut-être était-ce le fait de se sentir en sécurité, ou de paraître moins idiot... mais il s'était approché au cas où.

Invité

La jeuen femme soupira légérement, oui elle avait demander si elle pouvait pleurer simplement parce qu'elle craignait les réaction si elle laissait éclater ses larmes comme cela d'un coup. et puis elle avait tellement était habituée a demander la permission pour tout qu'elle le faisait automatiquement.

dés que le jeuen homme eu prononcer son oui , la jeuen fille sentit un larme lui couler de l'oeuil bientôt suivit d'un autre puis d'un autre encore,
C'était étrange de pleurer aprés temps de temps, elle avait l'impression de se nettoyer, elle avait sentit le jeune hommese rapprocher, et sans héssiter elle passa ses bras autour de lui et cacha sa tête dans ses vêtement.
La les larmes se virent plus abondante, elle pleurait sur ce qu'elle avait perdu, sur ceux qu'elle ne reverrait jamais, sur les expérience qu'elle avait subie, ce qu'il l'avait fait souffrient et qui sur lequelle elle n'avait jamais pleurer.
C'était étrange de la voir pleurer en silence , mais elle n'aimait pas faire de vague ni trop de bruit.

" Je ... Je suis .... désoléee de craquer comme .... cela ...Cela fait si .... Longtemps que je 'n'ai pas pl...eurer."

Pas facile de pleurer quandon parle, ou plustôt pas facile de parler quand on pleure.

Invité

Sentir Kya pleurer contre lui était plutôt bien. La jeune femme pleurait en silence, mais le tenait fermement dans ses bras. Elle semblait si fragile dans cette position que Vorodill eut envie de la rassurer. Étant beaucoup plus grand qu'elle, il déposa son menton sur la tête de Kya et une main dans ses cheveux, jouant un peu avec. Ils restèrent dans cette position un bon moment, se tenant chacun dans les bras de l'autre, Vorodill jouant le rôle de protecteur. Il avait aussi besoin d'amis.

''Ne t'en fais pas... d'autres personnes comme moi te protègeront... je ne suis pas le seul.''

*Cela fait longtemps qu'elle garde ça en elle...*

Vorodill ignora pendant combien de temps ils restèrent enlacés. C'était plutôt sans importance, car il voulait que Kya se sente mieux, et il aimait la présence physique de cette personne. Avec Kai, c'était très différent. Il n'était qu'une voix, tant qu'à cette Hybride, elle était une vraie personne.

''Si tu as des problèmes, viens me voir. Je t'aiderai.''

Invité

La jeuen femme pleura longtemps plus longtemps qu'elle ne l'avait fait depuis des années. C'était étrange pour elle de sentir que quelqu'un qui la protégait, sentir sa main sur ces cheveux ces bras qui semblait la protéger, c'était pas nouveau, non plus tôt comme un sensation qui rennaissait aprés avoir été enfuie longtemp, trop longtemps.

" J'espere que tu dit vrai."

LA jeuen femme cessa de pleurer aprés un moment , aprés un moment les larme se tarisse même si on a encore envie de pleurer, mais elle n'en avait plus vraiment besoin, pourtant même quand elle eu fini de pleurer, la jeuen femme resta un moment contre le jeuen homme.

" J'y penserait . Oui j'y penserait."

Elel dit cela en sachant trés bien, qu'elle ne le ferait pas, elle ne voulait pas lui ccauser des ennuie , elle ne voulait pas qu'il soient bleser, c'était la même chose pour Soibo, elle l'aimait et ne voulait pas qu'il soyent blesser, elle se n'était rien mais les autres bien.

" J'ai trempe tes vêtements, tu toi avoir un jolie tâche."

A cette idée la jeuen fille eu un petit rire, encore mouillé de larme mais un petit rire quand même.

Invité

''Non, ça va.''

Vorodill prit Kya par les épaules et la recula pour qu'il puisse voir son visage. Elle vait presque fini de pleurer. Le samouraï prit un mouchoir de la poche intérieure de son kimono et en sortit un mouchoir. Il le prit et essuya les dernières larmes de l'Hybride. Après avoir serré le mouchoir, Vorodill fixa le regard de Kya. Et puis, sans vraiment réfléchir, il l'embrassa sur le front.

Il avait plutôt fait ça comme si elle était... sa petite soeur. Il n'avait jamais eu de petite soeur, mais la voir le serrer dans ses bras comme elle venait juste de le faire ne lui avait fait pensé qu'à ça.

**Quoi?!? Tu la considères comme ta soeur?!?**
*Kai! Arrête de fouiller dans ma tête!!*
**Oups! Je suis découvert... mais pense s'y! Tu veux coucher avec ta propre soeur?!?**
*Elle est belle, mais je ne veux pas nécessairement coucher avec elle!*
**Quel manque d'ambition...**
*T'es chiant!*
**Merci!**

Le jeune responsable de la bibliothèque abandonna. Kai allait continuer à jouer le comique, quoiqu'il dise. Il étouffa un soupir et fit en sorte que cela ne paraissa pas sur son visage. Kya en serait troublée sinon. Plutôt, il afficha un sourire et dit:

''Et puis, ne t'en fais pas. Je suis samouraï et je sais me défendre, et mon boulot est la dernière chose dont je m'inquiète. Alors viens me voir si tu as des problèmes. Compris?''

Invité

Kya ne savait pas vraiment ce qu'elle resentiat pour ce jeune homme, elle l'aimait bien, même beaucoup mais pas de la même facon qu'elle aimait Soibo, avec le Neiko c'était plus fusionnel, plus fort, elle avait toujours envie de le toucher, de se fondre en lui.

Non ici c'était diférent plus doux, mais aussi chaud, quand il lui essyua les larme elle eu un petit sourire , légérement lumineux, ces yeux reprire aprés étre passe au bleu des couleur plus chaude, non elle ne savait vraiment pas ce qu'elle eprouvait pour lui, étant fille unique, elle ne savait pas ce que c'était d'avoir un ami, vous allez demander pourquoi elle pense cela simplement, Kya a toujours vécut seule loin des autres, aimer seulement de ces parents.

LA jeuen femme eu un petit rire quand elle sentit ses lévre sur son front c'était étrange mais pas désagréable.
Elle avait entendut un soupire mais elle n'en était pas sure, en tout cas quand il parla elle n'entendit plus rien.

" Oui j'ai comprit, si je suis en danger je viendrait, promis."

Avec un grand sourir elle saisit la main de l'homme et entoura son petit doigt du sien, comme le faisait les enfant quand il se jurait quelque chose.

" Tu a de la famillie?"

Invité

Le jeune homme sourit quand elle prit son petit doigt. Comme une promesse d'enfants. Mais ce qui le troubla un peu, c'était que Kya demande s'il avait une seule famille. Vorodill ne laissa rien paraître sur son visage, bien sûr, mais c'était une question plutôt difficile. Jouant le jeu, et ne voulant pas mettre mal à l'aise la belle Hybride, le samouraï ouvrit la bouche et dit:

''La seule personne que je considérais comme ma famille était mon grand-frère. Je l'appelais Isoshi. Il est mort il y a 14 ans. Quand je pense à lui, c'est comme s'il n'était jamais parti...''

**Ce que c'est touchant...**
*C'est pas croyable! Arrêtes de tout écouter ce que je dis!*
**Pauvre Isoshi... il se sentirait sûrement flatté s'il était là pour t'entendre... Tu veux faire un pyjama-party?**
*Mais qu'est-ce que tu dis?!?*
**Bon, continu ton baratin alors... je te surveille! Faut pas que tu fasses de gaffes, hein?**
*Tu es le plus à risque entre nous deux...*

C'était plutôt une courte réponse que Vorodill avait donné à Kya, mais cela suffirait. Elle pourrait lui poser d'autres questions à propos d'Isoshi, cela ne le dérangeait pas du tout. Elle était son amie à présent tout de même.