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 Leila Flinndak

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AuteurMessage
Leila Fl
Invité




Leila Flinndak Empty
MessageSujet: Leila Flinndak   Leila Flinndak EmptySam 2 Déc - 18:51

Nom : Flinndak

Prénom : Leila

Âge : 16 ans

Sexe : Féminin

Sexualité : Hétero

Métier : Étant donné que sa famille est plus que riche, Leila n'a pas vraiment besoin de travaillé, mais pour garder une vie se rapprochant un tant soit peu de celle des autres, elle fait un petit job de serveuse qui ne paye pas beaucoup. Tout simplement pour rester sur terre et avoir quelque chose à quoi se raccrocher. Quelque chose pour s'évader et ne plus penser.

Niveau social : Milliardaire

Famille :
??? Flinndak: Père de Leila, il n'a jamais apporté la moindre attention à sa famille et pour cela, Leila lui en veut beaucoup.
??? Flinndak: Mère de Leila. Cette dernière n’est pas la première personne vers qui elle se tournerait, mais il existe un lien solide entre la mère et la fille. L’amour qu’elle ressent pour sa mère est bel et bien là, mais la jeune Flinndak ne sait tout simplement pas comment l’exprimer correctement devant elle.
??? Flinndak: Frère ainé de Leila. Depuis ses 14 ans, il l'a viole fréquemment et pour cela, elle le déteste de toute son âme. Toutefois, il lui arrive de lui pardonner lorsque ce dernier se fait convainquant, même si elle sait qu’elle ne devrait pas.
Viktor Flinndak: Petite soeur de Leila, la grand sœur est prête à tout pour lui éviter son calvaire et à tendance à la surprotéger bien souvent.

Histoire : [ 15 lignes minimum]
À vrai dire, depuis près de deux ans, chaque jour de ma vie semble s’effacer rapidement de ma mémoire. Les jours heureux de mon enfance semblent n’être que des rêves éveillés et les visages que je croyais connaître ne sont plus que des reflets déformer par les échos de mes larmes. Des larmes d’amertume malheureusement….malheureusement…

Pourquoi? Simple. Oui. Ma réponse pourrait des plus simples, mais j’ai envie d’écrire quelque chose qui pourra refléter se que je suis : un miroir aux multiples facettes toutes plus solitaire les unes que les autres. Drôle d’image n’est-ce pas? Je l’aime bien. C’est ainsi que je me représente ma propre personne, un miroir aux facettes différentes, toutes certaines fissurés, d’autre ne comportant que quelques éclats ayant perdue tout reflet distinctif. Je suis peut-être bizarre de vous dire de tel chose, mais j’aime allé au bout des choses, et cette petite histoire est une façon de le démontrer, car une autre de ces facette est entrain de se casser, et cela me brise plus que je ne le suis déjà.

Les Flinndak sont les descendants directs d’Elkan et Sylwiné, chose qui n’arrange pas vraiment la réputation de ma famille, mais qui nous permit de vivre dans le luxe et la désinvolture. Cette même façon de vivre est probablement la cause de tout ces conflits familiaux, mais je n’en arriverai là que plus tard. Maintenant, commençons par le commencement, il vous sera alors plus facile de comprendre se qui doit être comprit.

Mes plus vieux souvenirs remontent à l’époque où ma famille ressemblait encore à un semblant de famille, du moins, pour moi, car elle n’était déjà plus rien pour tout les autres et encore moins pour mon père, mais pour moi, cette famille était encore là et cette facette de moi n’avait pas encore éclaté en mille morceaux. Pas encore…
J’étais plus ou moins heureuse dans mon bonheur artificiel. Certes, parfois, mon sourire n’était qu’image faussement représentative de mes vraies pensées, mais je n’en avais rien à faire si je pouvais vivre comme tout les autres enfants de mon âge. Ces souvenirs, également, remonte à l’année où ma vie prit un sens nouveau pour moi, une raison de me battre pour garder lié les gens qui possédait le même sang que le mien : Viktor, ma petite sœur. Drôle de nom pour une fille, je sais. Mais mon père tenait absolument à avoir un garçon et décida de garder le nom dans une espèce de vengeance. Sombre idiot…

Mais revenons à Viktor, ma petite sœur, mon soleil, ma raison de rester dans cet endroit maudit qu’est ma demeure. Dès la naissance, mes parents ne firent rien pour elle, alors j’en pris la charge, très difficile pour une enfant d’à peine cinq ans, avec l’aide d’une nounou, Marie, qui s’occupait également de moi. Quand à mon frère…sa vie était le centre de l’attention. Préféré de notre père de par son appartenance au sexe masculin, il jouissait de tout se qu’il désirait et même plus encore. Mon père ne valait pas mieux, et ma mère n’était déjà que son propre reflet. À l’époque, je ne comprenais pas pourquoi, mais maintenant, je peux, avec peine, dire que cette vie était tout sauf son rêve et que cela la brisa, en partie.

Mais pour en revenir à moi, car je ne raconte pas les erreurs et les victoires des autres, mais bien les miennes, j’étais une enfant qui vivait pour rendre heureuse le bébé qu’elle tenait dans ses bras. Et s’est se que je fis et fait encore.

Ma famille, comme je l’ai déjà dit, je crois, n’a pas une bonne réputation. Dans notre dos, parfois en face, les paroles prononcés à notre égard n’étaient pas des plus…aimables. Et nous dûmes apprendre à vivre avec. Jusqu’à mes 14 ans, cependant, je n’y pris pas attention. Je me savais au-dessus de cette situation, sans vouloir paraître hautaine, et me répétai chaque jour ce fait. Que voulez-vous? Il faut bien quelque chose à quoi se raccrocher pour ne pas finir par y croire. Mais je finis tout de même par être submergé par ces mots, et non à cause d’étrangers…

L’année de mes 14 ans, année qui marqua le début de mon calvaire, je commençai à haïr comme je n’avais jamais hais. Et avoir peur comme je n’avais jamais eu peur.

Mon frère, comme je vous l’ai déjà dit, était le chouchou de mon paternel et il était convaincu de sa supériorité. La seule personne qui lui tenait tête était mon père, et seulement lui, car mon aîné possédait les pleins pouvoirs, ou presque, dans notre demeure et ne se gênait pas pour nous le faire savoir. Moi, je me moquais bien de ses petits caprices. Cela ne me concernait pas et je vivais ma petite vie en m’occupant de Viktor. Cette facette de mon être, elle était en parfaite état et je croyais qu’elle le resterait, mais tout changea.

Quand cela se produit-il? Comprenez. Je dois extirper de ma mémoire un événement qui m’ait désagréable, et je n’aime pas en parler, mais pour vous faire comprendre à quel point ma haine et sa raison d’être est grande, je me dois de la déterré. Pour un moment. Je l’espères. Mais revenons à mon histoire.

S’était une nuit d’hiver où je m’étais perdu dans la contemplation de la neige -J’aime beaucoup la neige- et où je croyais encore que mon frère n’était pas un être abjecte. Viktor dormait depuis un moment déjà et je tombais moi-même de sommeil. À un moment, il est venue discuter. Se n’était pas vraiment nouveau et il était encore mon grand frère, pas adoré, mais quand même mon grand frère. Certes, son attitude pompeuse m’énervait, mais lorsque nous parlions de tout et de rien, il n’avait pas la même attitude. Il semblait plus…préoccupé par nous, ses sœurs. Me posant des questions sur se que nous faisions, se que nous aimions et d’autres choses dans le genre. Peut-être était-il ce grand frère que j’espérais tellement avoir. Un grand frère aimant et gentil, protégeant avec attention ses sœurs. Peuh! Baliverne! Si j’avais su…

Au bout d’un moment, transis de fatigue, je lui annonçai que j’allai dormir et me retirai. Toutefois, insistant pour m’accompagner, il me reconduisit à ma chambre sans rien laisser supposer de ses intentions, jouant le frère modèle à la perfection. Je me souviens de son petit sourire amical alors que je lui souhaitais bonne nuit. Je me souviens également du moment où il me souhaita pareillement une bonne nuit de sommeil comme un événement agréable. J’étais heureuse qu’il soit aussi attentif à mon égard pour une fois. Qu’il sembla me considéré autrement que comme une simple personne qui partageait sa vie. Je m’étais tromper d’un bout à l’autre de l’histoire, et je le regrette encore aujourd’hui.

Au début, je n’ai pas compris. Le choc avait comme déconnecté mon esprit, m’empêchant de réaliser se qui se passait. Comment le décrire? Comment décrire ce passage? Ses lèvres, sur les miennes, puis plus rien. Ensuite, lui sur moi, me prenant de force. Et tout mes rêves d’un jour avoir une famille unis envoler. Y réfléchir… Me rappeler… Ramener un acte enfuis au plus profond de mon être… Tant d’incompréhension qui m’envahis. Adieu cher frère. Tu n’es plus qu’un monstre. Un monstre qui viola sa propre sœur! Me suis-je débattu? Lui es-je crier d’arrêter? L’ais-je supplier de ne pas faire une erreur? Je n’en sais rien. Je ne me rappelle que la peur, la douleur et le désespoir. Ses mots doux comme un venin alors qu’il me prenait.

Après cet… événement, j’enfuis la nuit où j’avais cru avoir un vrai frère et me décidai de cacher et d’oublier. Oublier tout cela et reprendre ma petite vie tranquille avec Viktor.
Mais le sort me condamna à ne jamais pouvoir oublier, car il recommencerait chaque fois qu’il le voudrait. Je ne vous décrirai pas toutes les tortures, non physique, mais mental qu’il m’infligea, mais à chaque fois, la facette se fissure un peu plus, ne laissant rien d’autre que la douleur et la tristesse. Combien de fois? J’ai arrêter de compter. J’ai arrêter de penser. Et c’est bien la dernière fois que j’y repense. Désoler si je vous parais lâche, mais la peur qu’il s’en prennent à ma sœur ma paralyse, et je me fais pitié à moi même.

Vik… comprends-moi. Je t’aime tellement.

Physique :
Général : L’aînée des sœurs Flinndak possède un physique chérie par la vie sur plusieurs points. Sa très bonne forme physique et sa bonne santé font en sorte qu’elle tient très bien les activités physiques intenses sans trop se fatiguée. Également, la Flinndak de 16 ans, amatrice de surf, à une peau très légèrement bronzé dû aux nombreuses heures passé à dompter les vagues de la mer.
Mince et bien proportionnée, nul besoin de préciser qu’elle est la coqueluche de bien des hommes. Habituellement, Leila garda toujours un radieux sourire et ses traits sont détendu, par contre, quelques fois, elle paraît morose, intimidé et méfiante, surtout en présence de son frère.
Cheveux : Les cheveux de Leila sont d’un brun légèrement cendré tombant majoritairement librement sur ses épaules jusqu’à ses hanches. Lisses et doux comme la soie, le problème qu’elle éprouve avec est qu’ils sont tellement fin que les attachés est un véritable défi.
Yeux : Les yeux de la Flinndak sont d’un bleu-gris profond et enchanteur. On peut facilement y voir toute la bonté que renferme l’adolescente, ainsi que tout l’amour qu’elle a donné aux autres. Cependant, en présence de certaines personnes, notamment son père et son frère, ses prunelles semblent exprimé un profond ressentiment et une colère enfuis.
Grandeur et poids : Leila possède un bon rapport poids/hauteur et cela paraît. Mesurant environs 169cm, elle pèse environs 120 lbs.

Mental : Leila est quelqu’un de rêveur et passionné ayant un fort penchant pour les petits scénario romantique et poétique. Jeune femme à l’esprit vif, elle sait cependant reconnaître le vraie du faux et perd rarement son sang froid. Si on regarde en surface la personnalité amicale et joyeuse de l’aînée de fille Flinndak, Leila est une personne attachante et particulièrement attentionné, sans toutefois être envahissante. Toujours présente pour ceux qu’elle aime, et parfois même ceux qu’elle n’aime pas, l’adolescente possède un tempérament extrêmement protecteur qui fait qu’elle accuse souvent les coups à la place des autres. Malheureusement, cela joue contre elle alors que Leila plis devant les menaces de son frère quand à l’étrange relation qui les unit contre son gré.
C’est envers les étranges, surtout les hommes, que Leila sera le plus renfermé. Ne croyant plus en la sincérité du sexe opposé – violé par son propre frère et ignoré de son père, c’est quand même compréhensible – elle se montrera à prime abord très méfiante quand aux intentions de ceux-ci à son égard et à l’égard de ses amies, et surtout d'elle.
Enfin, Leila est une personne en qui on peut avoir une entière confiance si on réussi à gagner la sienne et ce, en tout temps. Sa loyauté va à ceux qu’elle aime et, jamais, elle ne fera quelque chose pour en démontrer le contraire. Se sacrifiant parfois trop souvent pour eux.

Autre : //
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Tyrrany
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Tyrrany


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MessageSujet: Re: Leila Flinndak   Leila Flinndak EmptyDim 3 Déc - 0:01

Que dire ! Cette fiche est parfaite ! Un véritable exemple et cela fait plaisir de lire une fiche de si bonne qualité !

Validatiiiiiiion !!
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