Nom : Eden
Prénom : Sylwiné
Age : 24 ans
Sexualité : Hétérosexuel
Histoire : Sylwiné est né dans un domaine riche, mais pas en tant que personne qui entrait par la grande porte… Son père était peu être le maître des lieux, mais sa mère, c’était une autre histoire. La pauvre femme avait été longtemps persécutée, et battus par ce maître, qui pourtant était considéré comme un homme bon, et tendre par sa femme et ses enfants… Mais personne n’avait jamais été voir ce qui se tramait dans sa cave, une pièce dont il n’avait jamais parler à qui que ce soit, et où il emmenait les soumis de son choix pour une duré indéterminé. La mère de Sylwiné avait été violée dans cette cave, et cette seule et unique fois avait été celle qui marqua neuf mois de grossesse, puis un accouchement dans une étable en pleins hivers. Elle mourut, casser par la fatigue, la faiblesse de sa vie, le froid et le manque de soin. Elle avait 16 ans…
L’enfant pris le nom de sa mère, intégralement. Prise en charge par une vieille Hybride qui n’avait jamais été toucher, repoussante, d’une laideur incroyable, Sylwiné fut élever loin des griffes de cet Homme ignoble et sans cœur. Mais pas très longtemps, car l’enfant fit un jour la connaissance de son fils aîné, nommé Derkel. Il avait 8 ans, elle 5, mais en jouant, il devinrent amis. Et tous les jours, elle partait jouer avec lui à de nouvelles aventures.
Le maître ce rendit alors bientôt compte de la présence de cette enfant, et demanda du compte à ma vieille Hybride, qui était trop franche pour mentir. Mais rusé, elle lui avoua que si il osait lui faire du mal, l’existence de la cave serait dévoilée… Il ne fit donc rien, et laissa les deux enfants s’amuser. Les années passèrent, mais pendant que le maître ignorait tout, son fils tombait amoureux de l’esclave qui s’avérait être sa demi-sœur…
Sylwiné avait toujours été heureuse, puisqu’elle n’avait jamais vu son vrai maître. Son amour pour Derkel comblait tout les manques quelles auraient pu avoir quand à ses parents. Ils passèrent très vite d’amis à amant, en secret, sans que personne ne le sache. Le seul problème était la situation de Sylwiné, esclave du domaine, ce que Derkel ne supportait pas. De nombreuse fois, il alla parler à son père, qui excéder refusa catégoriquement. Si il en avait eut la possibilité, il aurait montrer à Sylwiné depuis longtemps qu’elle était une vulgaire esclave… mais le « pacte » qu’il avait passer avec cette maudite Hybride qui ne semblait pas vouloir crever lui barrait le chemin. Mais plus le temps passait, et plus l’idylle de ses deux enfants grandissait. Il fallait agir et vite. Le soir même, il envoya secrètement un mot à Sylwiné, imitant son fils et lui demandant de la rejoindre dans le hall du domaine. Insouciante et confiante, elle s’y rendit…
Qu’elle surprise eut elle en se réveillant dans un endroit lugubre, poing et cheville lier, une vive douleur dans la nuque ! Le maître l’avait assommer, et emmener à la cave. Mais cela, elle ne le savait pas. Exactement comme sa mère, elle fut battue, mais pas par plaisir, mais par colère. Le maître lui avoua alors que la personne qu’elle aimait, et à qui elle n’avait cesser de ce donner était du même sang qu’elle. Sous le choc, les larmes coulèrent sur ses joues alors qu’elle se recroquevillait sous la douleur de cette révélation… Elle ne se rendit compte que trop tard les intentions du maître. Celui-ci c’était déshabiller, avec la ferme intention de prouver qu’elle n’était qu’une esclave. Elle n’eut le temps que de hurler avant de sentir l’intrusion de son propre père. Violé, battus, et honteuse, Sylwiné sentait son cœur la torturé. Elle avait mal, pire encore, la douleur mentale plus forte que physique la détruisait… Cette nuit là, son monde s’écroula, alors que la vieille Hybride mourrait dans son sommeil après voir bu une eau empoisonner…
Le lendemain, au réveil de Derkel, sa bien aimé n’était plus là. Il ne sus jamais qu’elle avait été envoyer par le maître dans une ville nommer Olphéra, et qu’elle allait être vendus comme esclave, ce qu’elle était depuis sa naissance. Mais il était certain qu’une chose c’était produit, et quitta le domaine, partant à la recherche de Sylwiné, au grand désarroi de son père qui pensait avoir gagner…
De son coté, c’est une Sylwiné sans âme qui fut emmené à Olphéra…
Description physique : Sylwiné ne ressemble pas du tout à son cruel de père, autant mentalement que physiquement. Au contraire, elle est tout le portrait de sa mère. Comme elle, Sylwiné est une jolie femme, de moyenne taille mais très mince, alors que ses formes son plutôt avantageuse. Ses cheveux son brun, au reflet roux très furtif. Elle aime se les coiffer, d’autant plus qu’ils son assez long. Ils son très bouclé, et paraissent parfois indiscipliné. Son visage est très fin, à la peau certes blanche, mais au teint de pêche et presque halé. Mais sa plus grande caractéristique est certainement ses yeux. Ceux-ci son vairon, l’un bleu clair, comme le ciel et l’autre gris foncer, comme les brumes d’automne. Ils semblent captiver tous ceux qu’elle regarde par un grand charme qu’elle ne contrôle pas du tout, mais dont elle est baignée constamment.
Autrement, elle porte sur le visage des cicatrices de brûlure, infliger par son ancien maître, et qui ressemble étrangement à du maquillage. On ne peu que trouver ces marques belles, alors que Sylwiné souffre de se regarder dans un miroir…
Description morale : Détestant la lâcheté et toutes preuves de faiblesse, Sylwiné prend très a cœur de s’en éloigner au maximum. Jamais elle ne cédera à cela, du moins elle l’espère vivement. Persévérante, elle ne lâchera jamais si elle veut obtenir quelque chose, sauf si cette chose est vraiment trop hors de porté. Franche, elle blessera par des mots dénuer de mensonge, qu’elle ne pourra garder pour elle. Il est rare de l’entendre se plaindre, trop fière pour cela.
Pour elle, la liberté n’à pas de prix, et fera tous pour le devenir, puisque finalement, elle n’à jamais réellement goutter à l’esclavage. Aimable et passionner, son caractère semble ne pas avoir de limite. Elle semble douce, et soumise. Mais ce ne son que les apparences, puisque la colère lui monte vite au nez et qu’elle ne se laissera jamais faire, préférant faire preuve de violence…Sylwiné n’est donc pas une femme domptable par la force…
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