¤~ Ophélie Tsuko ~¤

Invité

Nom : Tsuko

Prénom : Ophélie

Âge : 16 ans

Sexe : Féminin

Sexualité : Bisexuel

Métier : Elle travaille en tant qu'escorte à temps partiel. ( Pour ceux qui ne le savent pas, une escorte est un peu une prostitué mais de luxe. Elle est bien habillée, accompagne les hommes dans leurs sorties et bien entendue, si le coeur leur en dit, se donne à eux pour une somme légèrement rondelette. )

Niveau social : Pauvre

Famille : Ophélie ne connaît pas son père, puisqu'il est partit lorsque sa mère est tombée enceinte d'elle, à l'âge de 19 ans. Quant à sa mère, elle se nommait Minami Tsuko, était âgée de 23 ans et est décèdée, noyée par le froid de l'eau d'hiver. La jeune fille n'a cependant aucun autre membre de sa famille qu'elle connait.

Histoire : Le jour où tout commença, il neigeait, pas l'une de ses tempêtes horribles où l'on ne veut qu'une chose, rentrer chez soi. Non, plutôt une neige fine, vous savez l'une de ses nuits d'hiver où il fait bon marcher dehors en regardant les flocons tomber et où vous avez l'impression que le temps s'arrête l'espace d'une seconde. Voilà, c'était l'un de ses soirs là, Minami avait travailler toute la journée et revenait maintenant à la maison avec sa fillette âgé seulement de quatre ans. Eh oui, Ophélie était encore bien petite à ce moment là. Le géniteur ayant pris ses pieds à son cou lorsqu'il avait apprit la grossesse de Minami, quatre ans plus tôt, alors qu'ils n'étaient qu'un jeune couple de 19 ans, la jeune mère c'était débrouillée seule. Mais bon, revenons à mon histoire, elles rentraient donc toutes les deux quand le destin décida de ce faire encore plus hostile envers la pauvre petite famille que Minami et Ophélie formaient. Le pont sur lequel l'automobile passait tous les jours, matins et soirs, cèda sous le poid de la neige et du véhicule, entrainant celui-ci dans sa chute.

Si la petite voiture, pas encore totalement payée, de Minami se retrouva sur la glace, cela ne dura pas longtemps car peu après, un bruit de craquement à vous glacé le sang dans les veines retentissa, laissa la jeune mère ouvrire les yeux de peur. Regardant alors sa fillette, effrayée et hurlant de peur, les joues bafouillées de larme, elle sortie vite de la voiture, trainant avec elle la petite. Mais si la nuit était douce, le vent lui, ce faisait dure et impitoyable. Tenant avec fermeté la mitaine de sa fille, où sa petite menotte était glissé, Minami avançait le plus vite possible. Elle aurait aimée porter sa fille mais voilà, la chute lui avait blessé une épaule et la douleur était tenace. Il valait mieux la faire marcher quoi. Bref, elle faisait son possible pour aller le plus rapidement possible avant que tout ne s'effondre et ne les laisse sombrer dans les flots sombres de la rivière peu profondes mais bien assez pour les glacer et noyer sa fillette. Mais tout semblait, encore une fois, contre elle. Ophélie ne comprenait pas vraiment la situation, elle avait froid, elle avait peur et sa maman avait mal, elle le voyait bien. Elle ne cessait de demander à sa mère de s'arrêter, qu'elle avait peur mais Minami ne faisait qu'a sa tête.

La berge n'était pas loin pourtant, juste à quelques pas mais voilà, Ophélie venait de lacher sa main et était planté là, ses petites menottes placées devant ses yeux alors qu'elle pleurait avec force. La jeune femme sentit alors la pression, mais que faisait-elle là? Elles devaient aller sur la berge, ce n'était pas le temps de pleurnicher! Elle voulut aggriper l'enfant et la raisonner mais en voyant son minois, elle sentit une vague de douleur la traverser, sa fille n'allait pas bien, elle devait la réconforter, au moins un peu avant de repartir rapidement. Quelques mots doux, une demande des plus gentille pour rejoindre le sol et la petite semblait un peu plus calme. Minami reprit donc son chemin, tiran de nouveau la main de sa fille unique. Puis, le craquement reprit et cette fois, ne cessa pas, la jeune femme se mit alors à courrir, paniquée et effrayée, Ophélie avait du mal à la suivre. Puis entendant le cris de sa fille s'intensifier, la mère se retourna pour voir l'un des pieds d'Ophélie toucher l'eau. Son seul réflexe fut de tirer celle-ci et de la jeter vers l'avant, lui donnant un certain élan. la petite, seulement âgé de quatre ans, je vous le rappelle, glissa sur la glace jusqu'a la berge.

Un peu sonné, elle redressa doucement sa petite tête brune et vit alors sa mère tomber avec la glace, dans l'eau glacial de la rivière. Les yeux remplis d'eau, elle n'eut pas le temps de dire son nom, seulement de lever la main, dans un ultime geste d'amour envers sa mère, que celle-ci coulait déjà. Plantée là, dans cette nuit où le temps semble s'arrêter, et où le froid se fait dure, la petite Ophélie Tsuko venait de perdre sa mère, tremblante de froid mais surtout de chagrin. Le visage effayé et malheureux de sa mère hantant ses pensées d'enfants.

On ne la retrouva que le lendemain, transite de froid, pleurnichant doucement en demandant sa mère. La pauvre petite fut envoyé chez des parents à elle et l'incident sombra dans le quotidien d'un journal déjà trop remplis de drame. La petite fut élevée dans la sympathie, la gentillesse et la délicatesse mais le vrai attachement, n'y était pas. Elle passa de famille en famille, elle parcourut ainsi, presque tout le pays. Pas qu'elle ai été une mauvaise petite fille, n'y une enfant sombre et pleurnicharde, mais simplement parce qu'on ne savait jamais vraiment quoi lui dire, parce qu'elle était une petite fille réservée mais surtout parce que ses pleurs la nuit, fendaient le coeur de tout le monde. Et la tristesse perpétuelle n'étant pas des sentiments les plus enviables à vivres, on la chariait d'un côté et de l'autre, sans jamais ce soucier de cette pauvre enfant, traumatisée.

Les années passèrent donc et finalement, lorsqu'elle eut 8 ans, elle fut envoyée en pension. Toute sa famille étant soulagé, ils payèrent une mince pension pour la jeune femme. Mais voilà, une fois sa dernière année de collège arrivée, la jeune femme dut changer d'école. En fait, sa famille n'avait plus les moyen de lui payer un collège avec pension et elle fut bien obligé de chercher du travail et fut approcher par une femme plutôt gentille et franche, ce qu'Ophélie apprécia aussitôt. Elle lui proposa de travailler pour elle, en tant qu'escorte. Si la jeune femme hésita, ce que ne fut que bref. De toute façon, elle était passive pratiquement sur tout et avait tendance à se laisser faire. Tant pis si elle donnait sa virginité à un inconnu, tant qu'elle pouvait manger et aller à l'école. Mais en plus de lui offrir un boulot, la jeune femme avocate, de plus, lui offrit de venir s'installer chez elle. Depuis, Ophélie voue un respect sans borne et idôlatre cette drôle de femme.

Physique : Ophélie est une jeune femme que l'on qualifie habituellement de ''canon'', quoi qu'elle n'ai jamais vraiment aimée cette description de sa personne. Plutôt jolie, comme elle préfère se décrire, elle est de taille moyenne pour une jeune femme, soit environ 1m55. Elle a un teint plutôt blafard mais loin de paraître malade, elle semble faite de porcelaine, ce qui ne déplait pas à la jeune femme. Portant ses cheveux plutôt court, avec des mèches plus longues un peu partout sur la tête, elle est brune de naissance mais se teint les cheveux en un rose violacé. Elle n'a pas de belles lèvres pulpeuses, mais plutôt de petites lèvres fines, qu'elle n'aime pas vraiment, hérité de son père. Son nez est petit et mignon, plutôt banal quoi. Quant à ses yeux, chose plutôt particulière, elle est née avec un vert à l'oeil droite et à gauche, presque totalement aveugle, un oeil bleu. Sinon, Ophélie est mince et bien en santé, son corps est aussi composé de formes assez alléchantes, dont de longues jambes et une taille fine. Bref, c'est une jolie fille.

Mental : Si Ophélie à vécut un traumatisme, elle n'a pas mal tourner pour autant. Plutôt douce et délicate, elle est gracieuse et adorable sous ses airs innocents. Elle est timide, réservée et légèrement soumise. Ayant la mauvaise habitude de se mettre tout sur le dos, elle est la coupable d'honneur pour tout. Passant inaperçus, les gens ne la remaque habituellement pas, si on la remarque, c'est pour sa beauté. Jeune fille docile et loyale, elle ferait une amie merveilleuse, si seulement elle était plus social. Ophélie à aussi la mauvaise habitude de passer pour muette, alors qu'elle sait très bien parler. Bref, plutôt anti-sociable, c'est une jeune fille beaucoup trop soumise, qui se laisse mener par le bout du nez. Pacifique, passive et renfermée sur elle-même, elle s'accuse encore et toujours d'être la meurtrière de sa mère et se vois comme coupable. Elle se punit elle-même en repoussant toute trace de bonheur de sa vie. C'est une gentille fille mais qui ne croit pas avoir droit au bonheur, donc qui passe à côté d'un tas de bonnes occasions.

Autre : ~

Invité

Bienvenue mais tu dois d'abord attendre qu'un admin valide ton rang avant de poster ta fiche.

Invité

o.0 wooops. . .

Petit détail qui m'avait échapé T.T

Non mais, c'est ce que j'appelle un trèèès bon départ Rolling Eyes

Sorry.

Fiche validée ^^ (j'ai adoré l'histoire, la pauvre petite T_T)

Bel avatar en passant ^^

Invité

Merci, ça me fait très plaisir d'entendre ça ! ^^