Nom : Kueshner
Prénom : Veronese
Âge : 19 ans
Sexe : Masculin
Sexualité : Bisexuel
Métier : Pour quoi faire ?
Niveau social : Gosse de riche, Nappy, appelez ça comme vous voulez...
Famille : Son père, Arthur, riche directeur d'entreprise qu'il à directement herité de son propre père, qu'il donnera à son fils, si celui ci n'as pas coulé son affaire avant. Sa mère, Lucie, qui cumule les amants et le dedain à l'égard de son fils. Rien d'autre à signaler excepté une ribambelle de domestiques qui sont autant d'ombres mouvantes autour de Veronèse.
Histoire : L'histoire commence par celle de ses parents. Mariage d'argent plus que mariage d'amour, mariage du à une seduction mutuelle qui se comptait plus en monnaie tintante et en coupures fraiches qu'en battements de coeurs amoureux. Et pour tout dire, cela leur convenait tout 2 fort bien.Leurs situations respectives changèrent plus sur le papier que dans les actes, ils furent unis pour la vie à l'age de 23 ans tous deux, étant nés dans la même année. C'était le moment ou Arthur heritait de l'entreprise de son père, aprés y avoir été dument preparé et coaché.
Toute sa vie en fait, était tracée d'avance. A 26 ans, il aurait un fils, forcement un fils. Et il le confierait aux meilleurs nourrices, et la vie suivrait son cours. 27 ans, toujours pas le moindre bébé à l'horizon. Pour cause : Lucie se révéla sterile.
Pas perturbé pour 2 sous Arthur pris le temps, entre 2 meetings, de rentrer chez lui pour choisir la plus jolie de ses esclaves, et la faire passer à la casserole. Il fallait un heritier, peu importe qu'il ne soit pas vraiment du sang de Lucie. Personne n'y verrait que du feu. 9 mois plus tard, le gosse naquit, l'esclave revendue pour effacer toute preuve, et l'enfant placée immediatement en nourrice, comme s'aurait été le cas même s'il avait été de Lucie. Et il fut imposé à la jeune femme de considerer cet enfant comme sien.
Lorsqu'elle le rencontra pour la 1ere fois, elle le detesta immédiatement.En voyant cet enfant, il lui semblait qu'il lui était crié "regarde ! Même une simple esclave pouvait faire mieux que toi! ".Et pourtant, elle le prit dans ses bras, sourire crispé en prime. Jamais en elle ne s'éveilla une quelconque fibre maternelle, et le petit Veronese commença alors à grandir dans une étrange solitude. Il avait des jouets à foisson, et rien ne lui était refusé. Un enfant pourri gaté et mal éduqué, dont l'environnement manquait cruellement de rigueur. Les nounou étaient plus ses esclaves qu'autre chose. A 4 ans, il avait déjà compris qu'il était en droit d'exiger ce qu'il voulait de ces étranges creatures qu'il y avait dans la maison, les neiko et autres hybrides, et ne s'en privait pas.
Etrangement, c'est avec un neiko qu'il trouva presque un lien. Une jeune neiko douce et craintive qu'arthur appreciait particulierement, et que Lucie ignorait : Elle avait beaucoup plus à faire avec ses amants, son rendez vous chez le coiffeur, suivit de sa séance de kiné spéciale. Cette Neiko s'apellait Katie, et était sans cesse le cible des faveurs de Veronese, qui avait alors 5 ans. Ce n'était pas forcement une bonne chose pour elle. Elle était sans cesse demandé, au milieu de la nuit, pour un cauchemard ou un caprice. Mais c'était aussi elle qui percevait, à travers l'enfant pourri gaté, les quelques sensibleries et surtout desequilibres dont il faisait déjà preuves.
"J'ai fait un rêve Katie" raconta t'il un soir, assis sur le sol moelletoné du salon aseptisé, entouré de jouet tout juste offerts et déjà délaissé. "J'ai révé que j'était dans un grand champ, plein d'herbe violette et de plumes, et alors j'ai vu un coffre, et j'ai ouvert le coffre, et alors je l'ai ouvert, et la tout le monde s'endort, pour toujours".
Des paroles tout autants innocentes que tragique de la part d'un si jeune enfant. Katie ne savait pas trop si elle avait de l'affection pour lui. Plutôt de la pitié.
Katie est morte alors que Veronèse avait 9 ans, en sauvant celui ci des roue d'une voiture.
Il ne pleura que lorsqu'il fut enfin seul dans son immense chambre, remplies de choses qui n'étaient pas ses parents. Parents qu'il ne voyait que peu, et ne considerait pas autrement que comme encore d'autres ombres autour de lui. Peut être un peu plus interessant de par le statut de banque type monopoly.
A partir de la, l'évolution de Veronèse ne connut pas de point particulièrement marquant. Il grandit comme on aurait put le deviner, devenant exigeant, orgueuilleux et sur de lui et de sa fortune. Particulièrement désagreable avec le personnel, carrement odieux avec les neiko ou les hybrides, il exigea posseder le sien dès l'age de 12 ans. Son père n'émit aucune objection, et l'aida même à la choisir : Un jeune neiko aux yeux noirs du nom de Laika. Veronèse le renomma "Moustache" et se mit à l'utiliser comme l'un de ses jouets, sauf que celui ci avait la particularité d'être vivant, de reagir aux stimulis et surtout, de n'avoir pas le droit de le tapper. Un must.
Veronèse n'avait aucun ami. Des compagnons, si, plus d'un enfant était passé chez lui, invité par une nourrice qui s'efforçait de lui donner une vie sociale. Les enfants étaient emerveillés par cette belle maison, ou alors jalousaient Veronèse sans l'apprecier. Lui les congediait bien vite. Non, vraiment, moustache était beaucoup plus amusant. Surtout lorsque Veronèse se sentit grandir, et changer. Il était déjà une replique miniature et moins experimentée de ce qu'il deviendrait, mais ne connaissait surtout déjà pas de limite. Moustache fut tout bonnement son 1er objet sexuel. C'était presque "innocent", si l'on se veut credule. Veronèsé explorait les débuts du plaisir de son corp par le biais de son animal de compagnie. "Lèche" fut le 1er mot prononcé d'une voix déjà trop affirmée.
Véronèse n'ira pas bien loin avec Moustache néamoins. Il restait tout de même un enfant, mais un enfant qui grandis, et à 14 ans, il jeta son devolu sur une Neiko femelle. Veronèse avait une attirance particulière pour les neiko. Etait ce du à Katie? Allez savoir. Cette jeune neiko lui fut offerte comme cadeau d'anniversaire, en même temps qu'un 2eme scooter, un nouvel ordinateur dernier cri et une boite de preservatifs.
Veronèse avait vraiment la chance d'avoir des parents prevenants.
A partir de ses 15 ans, aprés s'être fait les crocs sur ses Neiko, et avide de nouvelles sensations, Veronèse tomba dans l'univers uppé des jeunes de son age, fortunés comme il l'était.
Soirée, dragues, neiko pretés entre jeunes maitres. Les drogues, également. C'est à cette époque, doté d'une permission parentale, que Veronèse se fit tatouer un IX sur le front, au dessus de l'oeil, ainsi que sur son annulaire gauche. La raison était surement plus une histoire de provocation et de recherche d'interêt ou de reaction de la part de ses parents, qu'une raison profondement pshycologique. Veronèse peut némoins expliquer le choix de ce tatouage, mais ne l'as encore jamais dit à personne. A qui confier des choses personelles? Veronèse s'arme de sa superbe et de son arrogance pour dissimuler sa solitude, voir l'oublier. Dans une verre, dans une petite pillule rouge et blanche. En jouant avec un de ses neiko.
Veronèse grandit, devenant de plus en plus provoquant. Minouche, engrossé par le jeune, fut vendue à une animalerie. C'était peut être elle qui avait le plus de chance. Il y en eu d'autres de passages, des jouets qui ne meritèrent pas de nom. Restait alors Moustache, qui perit d'une overdose de drogue que lui avait injecté Veronèse pour s'amuser.
Veronèse avait alors 19 ans, et était bien déçu d'avoir perdu son animal de compagnie. Bah, il n'avait qu'as aller s'en offrir un nouveau à l'animalerie. De toutes façons, Moustache se faisait trop usé.
Physique : Le monde est injuste, injuste de donner un physique si gracieux à un caractère si horrible. Voila ce qui pourrait resumer Veronèse. C'est un jeune homme de haute taille, bien battit, au visage fin qui ne semble savoir exprimer qu'un pannel reduit d'émotions allant du dédain à l'amusement cynique. Il maquille souvent ses yeux vers de khol, habitude qui se marrie fort bien avec ses gestes effeminés. Il prend également bien soin de sa longue chevelure sombre, de longs cheveux noirs qui lui tombent jusqu'a la taille. Ses mains et ses articulations sont osseuses, et un tatouage de IX orne sa tempe droite ainsi que sa main droite.
D'un point de vue vestimentaire, Veronèse est fort simple. Du gucci ou du prada font l'affaire, choisi au hasard dans sa buanderie personelle. Il affecte les breloques, et à percé ses oreilles en de nombreux endroits.
Mental : Un joli chapelet de defaut pour definir la personnalité de Veronèse. C'est un jeune homme hautant, perversement intelligent, ennuyé de tout et amusé par les choses cruelles. Il n'as pas de réelle passion et passe plus de temps à s'oublier dans un amour du risque un peu stupide qu'as realisé des choses concrètes. Sa scolarité est le cadet de ses soucis et il se fiche de son avenir, cherchant inconsciement à attirer l'attention d'une mère qui l'ignore et d'un père absent.
Autre : Sur son avatar, il tiens une laisse, c'est évident non?
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