Angelina Hinamori

Nom : [ Obligatoire ] Hinamori, son nom lui vient de sa mère d’origine Japonaise

Prénom : [ conseiller ! XD ] Angelina

Surnom : Angy, mais il n’y a que son frère qui peux l’appeler comme cela

Âge : [ Pas moins que 14 ] 18 ans, va sur ses 19 ans

Sexe : [ Féminin, Masculin ] Féminin

Sexualité : [ Homosexuel, Bisexuel, Hétéro] Hétéro, enfin seulement parce qu’elle est encore vierge

Métier : Responsable de la bibliothèque !

Niveau social : Riche

Famille : [Parents riche maître ? esclave ? 3 lignes minimum] Famille ? Une femme qui m’a donné la vie mais qui n’est pas ma « mère »… Mon frère de cœur, Tony.

Physique : [ 5 lignes minimum ]

Angelina est une jeune femme mince pour ne pas dire maigre. Elle est musclée mais juste ce qu’il faut, ce qui lui donne une silhouette plutôt chétive et frêle. D’une taille moyenne voir petite pour son âge, 1 mètre 65, Angelina ne fait pas fière allure devant des adolescentes qui arrivent, nan sans peine, à la dépassé. De plus, ses 55 kilos n’arrangent pas l’affaire. En claire, Angelina est une jeune fille d’apparence frêle, on pourrait croire que le moindre coup de vent réussirait à la casser en deux.
Une des premières choses que l’on remarque chez la jeune femme sont sûrement ses cheveux. Long, fin et soyeux, Angelina y porte beaucoup d’attention. Sa chevelure complètement noir avec parfois, de magnifique reflet bleuté ont envoûté plus d’une personne. Ses cheveux descendent jusqu’en bas de ses reins, légèrement bouclée sur les pointes, c’est la seule chose que la jeune femme « apprécie » chez elle.

Ses cheveux encadrent un très joli visage blanc, presque laiteux, doux au toucher et velouté comme une pêche. Angelina n’est pas le genre de jeune femme qui aime se pavaner au soleil et donc, son teint est resté très blanc malgré ses longues heures exposées dans les jardins. Ses yeux sont tout ce qu’il y a de commun voir banal, un vert clair surmonté d’une paire de longs cils noirs.
Son nez, légèrement retroussé montre la malice qu’elle peut avoir également dans les yeux, même si elle aime se faire discrète. Pour finir, sa bouche est fine et bien dessiné, magnifique…si seulement elle l’utilisait un peu plus…

Son style vestimentaire n’est pas bien compliquer : vêtements noirs pour la plupart du temps. Elle affectionne la soie et le coton, des matières légères, souple, agréable à porter. Les couleurs flashes ne sont pas du tout de son goût.

En matière de « bijoux », Angelina possède une bague en or qu’elle ne quitte jamais, offert par son frère pour ses 15 ans, signe qu’elle est passé d’un âge à un autre. Ce qu’il y a inscrit dessus n’est qu’un ornement.

Mental : [ 5 lignes minimum ]

Caractère : Angelina n’est pas du genre surexcité, prête à partir au quart de tour. Non en fait, elle est même carrément l’inverse. Posé, calme, elle préfère réfléchir pendant 10 ans s’il le faut plutôt que de foncer tête baissée dans la vie. D’un naturel distant parfois même hautaine, elle sais s faire respecter malgré son jeune âge et arrive toujours à ses fins.

Un de mot qui pourrait qualifier le mieux la jeune femme est : introvertie. Elle n’aime pas tant que ça le contact humain. Elle ne fuit jamais le regard des autres. Angelina déteste se faire dévisager mais ne se prive pas pour le faire. Elle aime les endroits calmes et tranquilles. Moins il y a de monde autours d’elle, mieux c’est. Ce n’est pas qu’elle n’aime pas la compagnie des autres…mais comme elle a dû mal, beaucoup de mal à se faire accepter de part son silence constant, le proverbe « mieux vaut être seul plutôt que mal accompagné » est une de ses règles de vie.

L’une de seule personne qui arrive à lui faire décrocher un sourire est probablement son grand frère de cœur, Tony. Avec lui, la jeune femme semble être complètement différente.

Qualités : Calme et posé, elle est toujours là quand on a vraiment besoin d’elle. Angelina est une fidèle amie, qui sait parfaitement écouter. Même si elle ne le montre pas, Angelina a l’intelligence vive et l’œil avertis. Elle sait discerner qui est qui dans son fort intérieur…
Malgré cela, quand on sais la voir sous son vrai jour et comprendre sa décision, Angelina sais être une amie fidèle et dévouée envers ce qu’elle aime, et réciproquement. Bien entendu, il est très difficile d’entrer dans son cercle d’ami.
Défauts : Le fait qu’Angelina ne parle que très peux, peut être le plus gros défaut qu’elle est. Angelina n’est pas muette, elle ne parle tout simplement pas pour rien dire. Elle est pourtant parfaitement capable de se faire comprendre.

Assez réservée, elle fuit la foule trop bruyante et préfère rester seule dans son coin, à s’occuper de ses propres affaires. Elle ne cherche pas à participer aux activités de groupe, la solitude est son maître mot.

Autre : [ Facultatif ]

Tony, mon frèrot de cœur est un perso à jouer. Si quelqu’un le veux, il n’a qu’à me le dire par p. Au pire, je me voue même à faire la fiche ^^

Et... Ah oui, je vient juste de m'aperçevoir que la description de la famille doit être d'au moins trois lignes... Mais à part dire qu'elle adore son frangin, je vois pas quoi mettre... C'est grave où y'a possibilité de me faire une fleur vu la longueur de mon histouar???
* sourire colgate et yeux suppliant * ^^'

Histoire : [ 15 lignes minimum]

Tel est mon nom. Un nom qui ne vous dira probablement rien. Un nom qui d’ailleurs ne me va pas du tout. Enfin, c’est l’impression que j’ai. Un proverbe dit « on ne choisit pas sa famille ». C’est tellement vrai. Malheureusement vrai. Certaines personnes, la plupart d’ailleurs, s’accommode du nom qu’ils portent. Ils ne cherchent même pas à savoir pourquoi il se nomment ainsi. Pour eux, c’est une sorte d’évidence. Pour ma part, je ressent ça plutôt comme une fatalité. Pourquoi ? Tout simplement parce que je n’ai j’aimais eu l’impression de vraiment faire partit de ma famille. Ma famille. Laissez moi rire. Rien que ce mot me donne la nausée.
Pourquoi est-ce que je ressent alors ce désir si inattendu de vous parler de moi. Moi qui est horreur de dire « je » toute les cinq minutes. Ma vie ne devrait regarde que moi. Pas les autres. Mais pas aujourd’hui.
Je ne dirait pas avec conviction que les lignes qui vous allez lire sont captivantes, que mon passé est intéressant. Rien d’exceptionnel ne sais encore jamais passer chez moi. Une vie morne, simple au possible. Dénué d’intérêt. Pour ne pas vous faire perdre votre si précieux temps, vous n’avez qu’à passer votre chemin… ne pas m’écouter. Mais moi, je continue. Je commence plutôt. Et je ne m’arrêterais pas avant d’avoir terminer. Ce n’est pas une mise en garde, un conseil plutôt.

Il fit à peine jour. Les rayons du soleil de la elle ville de Paris viennent doucement réchauffer le toit des maisons et autres appartements. Les bruits incessant des voitures et des piétons déjà levé ne cesse jamais et emplissent doucement le cœur de la ville. Dans le centre des affaires s’élève une tour parmi tant d’autre. Grande, assez imposante, toute de verre. Le quartier des affaires d’une grande boite d’avocats. Une tour qui comme la ville où elle s’érige ne s’endort jamais. A l’intérieur, vous trouverez toujours quelqu’un. Que ce soit un vigil ou un petit employé faisait des heures supplémentairement non rémunérés. Il est tôt. Le soleil est maintenant bien visible. Dans un bureau du trente deuxième étage, une femme. Brune, les cheveux attaché en un chignon très serré. Une fine paire de lunette accroché sur le bout du nez. Un tailleur hors de prix. Cette femme est là depuis tôt ce matin. Comme à son habitude. Assise à son bureau, très concentré sur son travail, elle feuillette et résume ses dossiers. Il n’y a pratiquement aucun bruit. Mis à part le son très reconnaissable de feuilles qui tournent une à une et celui d’un stylo grattant le papier. Ce calme aurait pu durer encore longtemps. Très longtemps…

Le son d’une sonnerie de téléphone de bureau résonne et emplit la pièce. La femme ne lève même pas le bout de son nez. Elle ne fait pas attention à ce bruit si désagréable si tôt le matin. Après tout, elle possède un répondeur.

« … Votre correspondant n’est pas disponible actuellement… veuillez le rappeler plus tard ou laisser un message après le « bip » sonore… Il vous contactera dès que possible… merci… »

Léger silence. La plume du stylo gratte toujours nerveusement le papier.

« … Biiiip… »

« Mizuko ? Mizuko c’est moi… Je sais que tu est là !…tu est toujours là… Mizuko je t’en prie répond. Il fait qu’on parle… Raa je t’en prie ne joue pas à ça avec moi !… Répond, il faut qu’on se voit ! »

Mizuko Hinamori. Une des plus grande femme d’affaire venue tout droit du Japon pour parfaire ses connaissances et être la plus grande femme avocate. Un but, un destin qu’elle s’est elle-même prédestiné depuis fort longtemps. Un léger soupire s’échappa de ses lèvres, suivit par un sourire amusé. Décidément, elle ne comprendra jamais les hommes. Une expression connue laisse entendre dire que les femmes sont toutes compliquées. Mais pour elle, c’était plutôt les hommes, tous autant qu’ils sont, qui auraient vraiment besoin d’une quelconque notice explicative. Sous prétexte qu’elle aurait eu la bonté de passé quelques nuits en sa compagnie, voilà que cet abruti croit qu’elle va désormais passé sa vie à ses côté. N’importe quoi. Tout à fait absurde.

L’identité de l’inconnu suppliant n’est pas nécessaire, ni vital. Tout simplement parce que je ne le connaît pas moi-même. Et je peux vous avouer que je m’en contre-fiche royalement. On m’a dit que c’était lui mon géniteur, mon paternel, l’homme à qui je dois la vie, en plus de ma mère. Mais je en l’es jamais rencontré, et cela ne me chagrine e rien. D’ailleurs, je trouve que c’est même mieux comme cela. A quoi bon parti dans une quête effrénée et ridicule pour tenter absolument de connaître l’identité de ce père. Je m’en moque et mon monde à toujours continuer de tourner sans sa présence.

9 mois plus tard. La carrière de Mizuko Hinamori s’élève de jour en jour. Tout le monde consent à dire que cette jeune Japonaise est doué pour ce qu’elle fait. Plaider les cas les plus difficiles pour toujours les gagner. Aucun défaite à son impressionnant palmarès. Peut-être allez-vous penser que cette demoiselle n’est autre qu’une jeune femme pleine de conviction et de valeur, qui ne vie que pour aider son prochain… Peut-être vous dirais-je alors que vous vous trompez royalement. Alors, qu’est-ce qui peux tant vouer une jeune femme en plein fleur de l’âge à toujours dépasser ses limites ? Le succès tout simplement. Trop imbue d’elle-même, Mizuko Hinamori ne vit que dans le seul but d’être tout les jours plus reconnue que la veille. Un vie dénué d’autre plaisir que la satisfaction de voir qu’elle à encore réussit là où tant d’autres ont échoué.
Pourtant, depuis quelque mois, un regrettable accident est venu perturber la belle carrière de la jeune femme. Un ventre qui s’arrondit. Des nausées matinales de plus en plus fréquente. Une fatigue omniprésente. Elle qui est pourtant réputée pour être la femme la plus prudente et organisée qui soit ce serait laissé avoir par une nuit de détente avec un parfait inconnu ? Hélas oui. Hélas pour elle. Car dès lors que son entourage, professionnel bien entendu, fut avertit de cette grossesse tout à fait exceptionnel, la vie de Mizuko fut complètement chambouler. Plus personne ne lui accordait d’affaires… Les gens commençaient à la regarder de travers. Les ragots les plus fou sur l’identité de ce père couraient bon train.
Impassible comme toujours, Mizuko Hinamori fut bien obligée de prendre des congés maternité. Elle qui n’avait pas prit un seul jour de congé depuis des lustres ! Quel ne fut pas son mécontentement d’être obligée de passer une semaine entière à ne rien faire. Rageuse intérieurement, elle maudira toute sa vie cette petite fille au cheveux noir qui lui aura causé tellement de souci. L’avortement était pourtant possible ! Trop occupé par son travail, Mizuko n’eu apprit sa grossesse que trop tard… L’accouchement sous X ! Et que vont dire les critiques si on apprend que la plus grande avocate de Paris vint d’abandonner son ciller un cil sa petite fille. Obligée encore une fois de garder ce poids avec elle, la jeune avocate s’empressa de trouver une sorte de « nounou » qui pourrait s’occuper de ce poids pour elle…

En clair. J’ai passé toute ma vie chez une famille avec qui je n’avait aucun lien de sang. Mais cela ne me dérangeait pas. J’ai vécu normalement. Je ne pourrait pas dire que mon enfance fut extrêmes heureuse, que je vivait entouré de gens m’apportant de l’amour. Non. Pour cette famille, je n’était que la fille de maître Hinamori. Rien de plus. La froideur et la distance, les regards coupables et les indifférences étaient donc mon lot quotidien. Ne me plaignez pas, gardez votre pitié pour vous. J’ai « aimée » ma vie et ne la regrette point.
Il n’y avait que le jeune fis de cette famille d’accueille qui arrivait à me considérer comme sa jeune sœur. Anthony. Que je nommais presque affectueusement Tony, tout simplement. Tony fut probablement l’une des seules personne à réellement compter pour moi. Mon frère de cœur. Toujours attentif envers moi, gentil et compréhensif. Le frère ; l’une des très rares personnes que je qualifient être dans ma famille, dans mon cœur…

Finalement, le temps passa et reprit son cours normal. La mère d’Angelina ne vit quasiment pas sa fille grandir. De toute manière, la nounou de cette dernière avait été prévenue. Les quelques rares fois où la jeune fillette entrevue sa génitrice comme elle l’appelait, c’était lors de ses anniversaires… et encore. 12 ans avait passé maintenant depuis que la fameuse avocate avait accouchée… et en gros, cette femme n’avait dû voir le fruit de ses entrailles qu’une toute petite dizaines de fois… Lorsqu’elle n’était pas trop occupée, entre ses réunions d’affaires, ses plaidoiries, et autres affaires bien plus importantes que sa chère fille non désirée.

Mais je m’y suis habituée depuis le temps. D’ailleurs, je ne cache jamais mon incrédulité et ma stupéfaction à chaque fois que j’arrive à la voir. Et lorsque par miracle cette femme se souvient de moi et viens m voir, ne pensez pas que nous restons des heures à papoter entre filles… Un bonjour, un chèque pour la nounou et un au revoir… Rien de plus. Rien de moins. De toute manière, je ne m’attend à plus rien de sa part, je n’espère plus rien d’elle. Et cela depuis fort longtemps. Suis-je une jeune fille horrible de parler comme cela de sa mère ? Et elle, n’était-elle pas une mère horriblement égoïste pour me mettre au monde alors qu’elle ne me désirait pas ? Bref, je ne vois pas pourquoi est-ce qu’il faudrait polémiquer là-dessus. Ma mère n’est rien d’autre pour moi qu’une femme parmi tant d’autre que j’entrevois de temps en temps et je ne suis rien d’autre pour cette femme qu’une entité mise au monde par pure accident.

Encore quelques années. Angelina à désormais environ 15 ans. Encore et toujours à cause du travail de sa « mère », la demoiselle se voit dans l’obligation de quitter son pays natale, la France, et de repartir dans un pays inconnu pour la jeune demoiselle. Mizuko, et sa carrière toujours aussi grandissante, se voit proposer un post dans le pays lointain. Un post, une opportunité qu’elle ne peut refuser. Vous allez alors vous demander pourquoi est-ce que sa fille se voit dans l’obligation de la suivre dans ce pays parfaitement inconnu pour elle ? La même réponse et la même raison qu’y avait poussé Mizuko Hinamori à quand même accouchée de son enfant… La pression des regards des autres, les critiques pour ne pas dire les médias. La grande avocate ne voulait pas que tout le monde se pose des questions sur le fait qu’elle n’ait pas emmener sa fille avec elle. Pour des raisons toujours pratique, la famille d’adoption de fortune de la jeune Angelina déménagea donc avec elle. De toute manière, depuis qu’elle s’occupait de la jeune femme, la nounou d’occasion n’avait plus que la paie de madame Hinamori comme salaire. Salaire déjà relativement élevé. Et pour le bien être de sa propre famille, cette nounou ne pouvait pas refuser de partir avec l’avocate.

Ce fut donc comme cela que la jeune Angelina commença une nouvelle vie dans un nouveau pays. Obligée de se refaire des amis qu’elle avait déjà eu beaucoup de mal à avoir dans son pays natale. Ce fut pendant cette période et depuis le déménagement que la jeun fille devint ce qu’elle était maintenant. Une demoiselle froide, distante pour ne pas dire hautaine avec les inconnus. Seul son frère arrivait désormais à décrocher un sourire à la jeune femme.

Comme en France, j’ai continué mais études dans un des plus grands Lycée de là-bas. Etude très strictes et encadrées, ma mère qui me portait de moins en moins d’intérêt semblait tout de même absolument vouloir que je suive la même voix qu’elle. Pour ma part, il en était hors de question. Moi qui suis encore très jeune, j’ai déjà réalisé que je ferait tout pour ne pas lui ressembler. J’ai déjà beaucoup de mal à m’intégrer parmi vous si c’est pour en plus devenir une bête de travail comme cette femme. Plutôt mourir. Je ne sais pas exactement qu’elle carrière je souhaite avoir. Mais j’ai envie pour une fois de ne pas y penser. De vivre au jour le jour, de m’éloigner de plus en plus de ce monde qui ne semble pas du tout être le mien. Je ne sais même pas si vous comprenez ce que je dit. Moi en tout cas, tout est clair. Quitte à ce que je ne fasse rien de ma vie, je ferais en sorte de ne jamais devenir « Mademoiselle Hinamori fille ».

« Hey ! Angy ! Tu viens au ciné avec moi cette aprèm ? Y’a un super film qui sort et les critiques sont géniales !!! »

Pourquoi est-ce que dès que j’entend sa voix, tout mon monde si noir et fade prend t-il soudainement des airs de fête. Angy. Le surnom que Tony m’a donné. Je le déteste. Sauf bien entendu lorsque c’est lui qui le prononce. Une fois, la mère de Tony a osé m’appeler comme cela. Elle l’a amèrement regretté. Je ne dirait pas que je déteste cette femme. Comment pourrais-je détester la mère de mon cher frère ? Tout ça est si paradoxal. Elle que je n’est jamais appelé « maman » tout simplement parce que je n’avais aucune raison de le faire. Parfois je me dit que ma vie est bien trop compliqué. Pas vous ?

« Bien sûr j’arrive tout de suite ! »

Pourquoi est-ce que je ne peux rien refuser à cet homme ? Pourquoi lui non plus ne peut-il rien me refuser. Nous sommes si complémentaire. Je ne crois pas en Dieu, mais si une quelconque entité existait vraiment là-haut, je crois que je la remercierais réellement de m’avoir fait rencontrer Tony. Lui qui à fait de ma vie quelque chose de plus agréable. Je ne sais pas ce que je deviendrais sans lui. Je sais pourtant parfaitement que je suis en mesure de me débrouiller seule, que je suis assez mûre pour ne plus compter sur quiconque (ce que je fait déjà depuis fort longtemps). Mais… comment dire… Tony est une personne exceptionnel qui arrive à me faire sourire alors qu’il n’y a rien de drôle. Et pour tout ce qu’il a bien pu m’apporter au cours de mes 16 petites années, et pour tout ce qu’il risque encore de m’apporter, j’ai envie de le remercier. Et je crois bien que je ne le remercierais jamais assez d’ailleurs…

Bien. Etes vous satisfait alors ? Votre curiosité est-elle apaisée ? Je vous félicite pour avoir tout lu. Et si vous parcourez encore du regard les quelques mots que j’écris en ce moment, je vous dit bravo. Bravo pour avoir su rester aussi longtemps à perdre du temps à lire une histoire sans aucun intérêts… Bah, il y a des gens qui n’ont que ça à faire… Comme je vous envie…

Je sais bien que ma vie est loin d’être terminée. Mais je pense qu’au jour d’aujourd’hui, plus rien ne pourra faire de ma triste existence une vie heureuse ou mouvementée.

Est-ce que je me tromperais ?

Bah… va savoir…