Petit accident

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La voiture s'arrêta devant le centre hospitalier de la ville. Celui ci était relativement grand et récent. D'ailleurs beaucoup de médecin et spécialiste de renommé travallaient dans ses locaux toujours remis à la pointe de la technologie. Les portes s'ouvrirent et Azatoth en sortie en même temps que Alya, en regardant la propreté des lieux et le design moderne et apaissant de l'établissement et des jardins qui l'entouraient, sa tension avait un peu baissé, il poussa un petit soupir de soulagement et il regarda Alya avec un sourire plus amical et franc que durant le trajet.

" Bienvenu dans mon établissement, le "Atlas Home Memories", mon hôpital. C'est ici que j'ai une affaire à régler, si tu a des examens médicaux à passé n'hésite pas à le dire, tout les médecins sont très compétant dans leur domaine ici. "

Azatoth commença à avancé le long de l'allé qui menait à l'entré principale, la voiture elle alla se garer dans le parking sous terrain réservé au personnel de l'hôpital. Il frachissa le seuil d'entré et changea totalement d'attitude en entrant. Il prit une mine sympathique et serieuse à la fois. Puis il se dirigea vers l'ascensseur du personnel derrière l'acceuil. Au pasage il salua quelques médecins et regarda les malades dans la salle d'attente vite fait pour voir si il ne manquait rien. Azatoth était peut être colérique et aristocrate, il aimait que les choses soit bien faite jusqu'au plus petit détail. Il alla derrière l'acceuil et entra dans l'ascensseur, seul avec Alya, les gardes du corps montant la garde devant les portes du dit assensceur. Il sortit une carte de sa poche et la passa dans la fente prevut à cette effet, l'assensceuur deverouilla alors deux niveau le dernier ou le Labo. Azatoth appuya sur le Labo et ils commencèrent tout deux à descendre. Puis il parla à Alya sans la regarder mais son visage avait de nouveau changé pour un visage plus ferme et plus dur.

" Tout ce que tu verra et top secret et interdit par les lois en vigueur, je me dois d'avoir une attitude sctrict, et si tu répètes quoique ce soit tu sera morte. Beaucoup de choses sont en jeu là ou nous allons. "

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Alya fut stupéfaite de constater le changement de comportement de son maître une fois entré dans l'hôpital. Il avait l'air d'un médecin accueillant, gentil et au petit soin pour ses patients, mais un patron stricte mais juste. Peut être était il plus gentil que ne se l'imaginait Alya.

Elle le suivit dans le hall, on aurait dit une interne qui suivait le médecin pour faire la tournée du matin. Il se montra quelque peu plus amical avec elle, et lui souhaita la bienvenue dans son établissement. Il lui proposa même de passer des examens au cas où elle en aurait besoin. Mais Alya était saine, et avait toujours été soignée chez son ancien maître.

Il appela l'ascenceur et y entra en compagnie seule de Alya. Une fois à l'intérieur son comportement changea de nouveau et son ton redevint froid, son visage plus ferme et dur. Il la menaca en quelque sorte de mort, si elle dévoilait ce qu'elle allait voir. Mais cette fois ci Alya n'aimait pas la tournure des évènements.

La jeune femme se rembrunit quelque peu et regarda son maître avec une légère froideur dans les yeux. Son comportement l'étonna elle même vu qu'elle n'avait jamais osé faire de remarque à son ancien maître. Mais peut être était ce la peur de cette nouvelle vie qui l'effrayait tant et qui lui donnait un peu plus de caractère.

-Au risque de vous paraître insolente, si vous avez tellement peur que je dévoile quoi que ce soit pourquoi m'emmener avec vous ? Un de vos malabars aurait très bien put veiller à ce que je ne m'échappe pas... Mais de toute les façons, je ne suis qu'une esclave à qui voulez vous que je raconte quoique ce soit ? Et qui croirait on ? Un homme riche et de grande renommé, ou une simple esclave ?

Alya baissa de nouveau la tête se disant qu'elle avait peut être été trop loin. S'il était capable de la tuer pour une dénonciation, que serait il capable de faire pour une insolence de la sorte. Elle tenta de se faire toute petite, regrettant à présent d'avoir ouvert la bouche.

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Azatoth avait remarqué que la langue de sa protégé s'était délié dans l'assensceur, mais au lieu de l'énerver se comportement l'amusé plutôt ce qui voulait dire qu'elle avait saisit le principe de base mais ne comprenait pas le pourquoi du comment de sa présence.

" Tu marques un point je n'aurais pas , ou plutôt jamais dû t'emmener ici, mais dans ma colère j'ai oublié de te laissé en haut. Mais ce n'est pas plus mal que tu vois les deux face de l'homme a qui tu appartiens, je suis comme cet hôpital, en haut les soins et au sous sol ......... "

Il laissa sa phrase en suspent et les portes de l'assensceur s'ouvrir sur un sas avec deux hommes en tenue militaire et lourdement armé, tout deux gardaient une énorme porte métallique. Quand Azatoth avança les deux hommes appuyèrent simultanément sur un bouton à côté d'eux. La lourde porte s'ouvrit alors sur un couloir. Quand tout les deux s'engagèrent dans le couloir la porte se referma et des lumière s'allumèrent, les vitre qui était opaque devinrent clair et tout un réseau de laboratoire apparut, certains plus morbide que les autres. Un homme arriva en tenue de combat.

Homme : " Nous avons agit selon vos ordres, Goldwings est sur la phase final du projet et les deux gardes sont dans les cellules de test du projet Elena. Et qui est ce ? Un nouveau cobaye ? "

" Traite là une seule autre fois de cobaye et tu finis dans une des cellules. Elle se nomme Alya et mérite du respect en tant qu'esclave personnelle. Bien tout est donc sous contrôle, finalisé le projet Therma, nous avons besoin des revenus qu'il va nous fournir. "

Homme : " Pardon monsieur cela ne se reproduira plus. Le projet sera finis vous voulez voir les test ? "

" Montrer moi ma soeur, je me fiche des test. "

L'homme les conduisit tout deux devant une celle plus confortable que les autres, cela faisait en fait plutôt un appartement. Une jeune fille de 9 ans était dedans avec une femme, le garde ouvrit la porte.

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Alors que Alya pensait qu'elle allait le mettre en colère par sa réaction, elle fut plus que surprise en voyant que cela semblait un peu l'amusé. Il lui dit qu'elle n'avait pas tout à fait tort, mais que sur le moment il avait oublié de la laisser en haut. Pourtant Alya le soupçonna de l'avoir intentionnellement emmener afin qu'elle voit quel genre d'homme il était.

Ses pensées fut vite confirmées, lorsqu'il lui dit qu'elle verrait par la même occasion les deux faces de l'homme à qui elle appartenait. Cette simple idée la fit frissoner, ce qui l'empêcha même de répondre quoique ce soit.

Lorsqu'ils descendirent de l'ascenceur, deux hommes en tenue de militaire se trouvèrent devant un sas. Ils étaient bien équipé, et sans dire un mot ils ouvrir le sas pour laisser passer les deux nouveaux arrivants.

Alya suivait de très prêt son maître, comme si elle avait peur qu'il disparaisse en un simple clignement de l'oeil. Elle regardait tout autour d'elle et tremblait légèrement. Elle sursauta lorsqu'un homme en tenue de combat arriva devant eux en parlant de manière plutôt rapide. Elle ne comprit pas tout ce qu'il dit, mais un mot ne lui échappa pas.

Il avait comparée Alya à un cobaye. Celle ci ne prêta guère au menace de son maître vis à vis de l'homme et restait troublée à l'idée que cette homme qui venait de l'acheter se serve d'êtres humains comme cobaye. La simple idée qu'un animal puise servir de cobaye la répugnait, alors un humain...

Son maître demanda à voir sa soeur. Alya n'en croyait pas ses oreilles. Comment une femme pouvait participer à des expériences aussi inhumaine. Mais Alya fut vite détrompée. Ils parvinrent à une cellule luxueuse qui ressemblait quelque peu à un appartement, mais n'en restait pas moins une cellule quand même, où se tenait une jeune femme tanant dans ses bras une magnifique petite fille de neuf à peine.

Un garde ouvrit la porte, et sans savoir pourquoi un léger sanglot s'échappa de ses lèvres. Elle retourna son regard vers Azatoth et durcit son visage en le regardant. Elle n'en croyait pas ses yeux, comment pouvait il enfermer une petite fille innocente. Certes Alya ne connaissait rien de la vie de son maître, mais rien excusait son geste.

-Ne... Ne me dites pas que... c'est votre soeur...

Alya ne savait guère si c'était la jeune femme ou la petite fille qui était la soeur de son maître. Mais elle se doutait que cela devait être la petite fille, car un air de famille existait entre eux. Peut être se trompait elle. Pourtant Alya ne baissa pas la tête, et regardait toujours son maître fixement, un air plus que dur sur le visage.

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Azatoth remarqua le changement d'attitude d'Alya elle qui était d'habitude soumise, ici elle semblait soutenir le regard de son maître et surtout un regard de questionnement et d'indignation enver le sort des cobayes et surtout de la jeune fille qu'il avait appelé sa soeur. Azatoth la regarda droit dans les yeux mais il n'était pas en colère mais plutôt satisafait qu'elle se rebelle un peu, d'affirmer son caractère.

" C'est éffectivement ma soeur, c'est mon père qui à jouer avec son esclave sans prendre de précaution, j'avais 11 ans et j'ai tout vu, je ne lui ai jamais pardonné et à elle non plus, j'ai vulut les tuer mais je n'ai pas pu, alors elles sont gardées ici. Je l'aime et je la hais..."

Dans sa voix on pouvait sentir qu'il était déchiré entre l'amour qu'il porté a sa soeur, et sa haine remontant au traumatisme d'il y'a quelques années.
Azatoth regarda alors sa soeur, il entra dans la pièce et alla rejoindre la mère et sa fille. Il s'agenouilla à coté d'elles, puis il pris sa soeur dans ses bras, puis il l'embrassa sur le front, il jetta un coup d'oeil a Alya qui avait toujours ce même regard, en lui même il ressentait une grande honte a faire cela mais il n'osait pas fanchir le pas. Mais le fait qu'Alya ai vu cela et surtout lui parle de cette manière l'avait fait ébranler sa conviction. Il resta quelques minutes avec elle puis il se releva et ressortit de la pièce. Le garde allait refermé la porte quand il entendit la fille crier son diminutif :

Fille "Azaaaaaaaaa"

Elle s'accrocha à sa jambe et le regarda avec les yeux en pleur, ce fut pour lui le coup de grâce, et il pris une decision qu'il n'aurait jamais penser prendre un jour. Il s'adressa au militaire à côté :

" Preparez leur affaire et une voiture, elle rentre au Manoir ... "

Puis il attrapa sa soeur et la porta :

" C'est finis Neyla, tu rentres à la maison, je ........ pardon ma petite soeur "

Puis il l'a reposa et la confia aux hommes venus les ramener chez lui. Leur temps de captivité avait été suffisement long, et elles méritaient toutes deux mieux que cela, ce n'est que par la faute de son père qu'elles se sont retrouvé dans cette situation.

Il commença à avançer vers la sortie, et il s'arrêta pour parler à Alya :

" Je ne sais pas si tu y ais pour quelques chose ou pas mais je te remercie pour elles, c'était pour cela que tu es venu avec, j'avais besoin d'un déclancheur pour prendre ma décision, tu l'as peut être été. Je sais que tu n'approuve pas les methodes ni les experiences, mais je suis obligé de les faires pour l'avenir de la science et nous même sinon seul les dirigeants pourront s'octroyer des droits, mais je ne vais pas rentrer dans les details, sous la surface ce cache le monstre que tu peut voir à travers ses labos, et je mérite du mépris. Au fait c'est très bien d'avoir osé montré ce que tu ressent, mais ne le refais pas en dehors de la maison ou de ses locaux. "

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Alya pour la première fois de sa vie n'avait pas peur de se faire punir ou autre. Son ancien maître avait beaucoup de défaut, mais jamais il ne lui serait venue à l'idée de faire ça. Elle se demandait comment cet homme pouvait lui promettre une vie paisible, s'il était capable d'enfermer sa propre petite soeur dans une cellule et de s'en servir de cobaye.

Alya était même prête à lui proposer de prendre la place de la petite fille, mais son maître lui expliqua ses raisons. Alya ne baissa pas la tête, en ce moment elle le fusillait de son regard aussi cruellement qu'elle savait le faire. Non, l'excuse de son maître ne lui convenait pas.

-Vous pensez réellement que cet enfant est conscience de quoique ce soit ? C'est votre père que vous auriez dut enfermer, pas cet être innocent !

Surement avait elle dépasser les bornes (des limites XD), mais Alya ne cilla pas du regard. Les évènements se passèrent plutôt rapidement, Azatoth, prit sa soeur dans les bras, puis s'en éloigna. A ce moment la jeune fille cria le diminutif du maître d'Alya, ets'accrocha à la jambe de son frêre.

Alya retint ses larmes, se disant que cette pauvre enfant ne comprenait même pas le pourquoi du comment elle s'était retrouvée ici. Alya allait dire à son maître qu'il ne pouvait pas les laisser ainsi, mais cela fut inutile. Il en prit la décision bien vite. Il ordonna aux gardes de les emmener au manoir. Alya se mit à sourire contre toute attente, en regardant la jeune femme, et la petite fille suivre les gardes.

Azatoth se retourna vers elle, et son sourire disparu de ses lèvres. Surement serait elle punit pour avoir oser se rebeller ainsi, mais non. Il lui dit au contraire qu'il l'avait emmener pour qu'elle déclenche en lui une réaction. Mais il lui fit bien comprendre qu'il ne voulait pas qu'elle agisse ainsi hors de la maison, ou hors du labo. Alya hocha la tête.

-Cela n'arrivera plus... Je suis désolée de m'être montrée si insolente... Mais...

Elle baissa la tête et se tut. Il était inutile d'expliquer pourquoi elle avait agit ainsi. Inutile d'être savant pour comprendre sa réaction. Mais Alya reprenait son comportement de soumission, prête à payer le prix de son acte, s'il le fallait vraiment. Elle avait réussi à sauver enquelque sorte cet enfant alors le reste elle s'en fichait. Finalement Azatoth n'était peut être pas aussi cruel qu'il le pensait. Surement avait il dut souffrir énormément.

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Quand Alya parla de son père il s'arrêta net dans sa marche vers l'assenceur. Il ferma les yeux et n'osa pas affronter le regard d'Alya, puis il lui annonça la nouvelle, la chose la plus terrible qu'il ai eut à faire :

" J'ai fais tuer mon père et ma mère à l'age de 17 ans, ils devaient se rendre à un gala, mais leur chauffeur fut remplacé par un assassin que j'avais payé pour les tuer, enfin mon père, mais je n'ai jamais revut ma mère, je suppose qu'il l'a tué également. Ma vengeance ne devait être complète que lorsque j'aurai tué ma soeur et sa mère mais je n'ai jamais eu le courage de le faire. "

Il resta un moment silencieux avant de reprendre sa marche, Alya s'excusa de son comportement, cela perturba Azatoth, devait il la punir ? La remercier ? Ou simplement être indifférent ? Il regarda les laboratoires autour de lui, dedans des scientifiques s'afferaient sur la recherche en génétique, bacteriologie, test sur des cobayes et d'autres choses encore, il avait dilapider sa fortune dans ce laboratoire d'avant garde pour toujours avoir une longueur d'avance. Mais valait t'il mieux que son père, méritait t'il des excuses de la part de cette esclaves ? Il se questionna intérieurement et la réponse lui apparrut aussi clair que d'habitude. Il était devenu mi-ange mi-démon, il voulait suivre les preceptes de son père mais également en prendre le contre pied suite aux évènements survenu il y'a des années. Après un moment de réfléxion il répondit à Alya.

" Je suis un monstre, je ne vais pas le nier, je ne mérite pas d'excuses, tu as fait ce dont j'ai été inccapable il y'a longtemps, et j'en paye le prix aujourd'hui. Je suis comme ça, j'ai beau agir avec noblesse et codes en publique, en moi sommeil un mal qui s'exprime à travers ses labos et ce que j'ai fait endurer à ma petite soeur. Ton ancien maître t'a obligé à être soumise. Je ne veux pas que ce soit le cas avec moi, dumoins entre nous, j'ai dis que ma famille accordait beaucoup d'importance aux esclaves et c'est le cas. "

Azatoth repris un peu d'assurance en voyant les quelques premiers projet aboutir, bientôt il pourrait rentabilisé son investissement. Ce pourquoi il avait tant dépensé et sacrifié de personnes. L'hôpital était la couverture parfaite pour cela, des patients à volonté et surtout personne ne viendrait soupsonné cette installation. Il se retourna vers Alya et lui demanda :

" Je crois que tu mérite une faveurs de ma part, qu'est ce qui te ferais plaisir ? Retourner au magasin de vêtement, allez au Manoir, une promenade a l'air libre, choisit ce que veux je ferais en sorte que ton désir soit accordé. "

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Alya n'en croyait pas ses yeux lorsqu'elle entendit Azatoth parler de ce qu'il avait fait à ses parents. Comment pouvait il vivre avec un geste aussi affreux sur la conscience. Elle n'avait jamais eue la chance de connaître ses propres parents. Bien sur elle se doutait que son père ne voulait pas d'elle, mais sa mère, elle savait et était même sure que cette dernière l'aimait.

Elle ne répondit rien, trouvant qu'elle avait déjà trop parler. Surement aurait il envie de la punir, elle était prête. Bien sure au fond d'elle, elle était effrayée mais elle ne voulait pas le montrer. Mais sa surprise fut plus grande lorsque Azatoth se remit à parler de lui. Il se disait être mauvais, et Alya fronça les sourcils.

Non, elle était persuadée qu'il ne devait pas être aussi mauvais qu'il le prétendait. Certes les apparences allaient dans le sens de ses dires, mais ne dit on pas que les apparences sont trompeuse ? Alya était persuadée qu'au fond de lui se cachait un petit garçon complètement traumatisé, et qui ne savait comment il devait agir.

Les enfants reproduisent souvent le mal qu'on leur à fait. Leur rencontre n'était peut être pas le simple fruit du hasard. Alya pourrait peut être l'aidé à voir la vie autrement. N'était elle pas un bon exemple ? Une jeune fille qui avait tant souffert. Des maîtres qui lui avaient fait croire qu'elle était une jeune fille comme les autres, et lorsque lui eut des envies à asouvir, il brisa d'un seul mot les rêves de cet enfant.

Pourtant Alya ne désespérait pas, elle savait qu'elle passerait toute sa vie à obéïr aux caprices d'homme ou de femme riche. Mais cela ne l'empéchait pas d'aimer la vie. Elle regarda Azatoth, qui à présent lui proposa de la remercier en lui offrant ce qu'elle voulait. Elle resta songeuse un instant puis finit par répondre.

-Ce qui me ferait réellement plaisir ? C'est... c'est que vous ne parliez plus de vous de cette manière... Vous avez peut être fait des choses cruelles, mais aujourd'hui vous le reconnaissez, donc cela prouve bien que vous n'êtes pas aussi mauvais que vous le prétendez...

Alya baissa la tête et rougit légèrement. Très peu d'esclave souhaiterais quelque chose pour leur maître, pourtant elle c'est ce qu'elle avait envie. Elle ne voulait plus l'entendre se médire tout seul, plutôt qu'une promenade. Mais son désir sera t-il accordé ?

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Azatoth resta sans voix quand elle lui annonça que son souhait allait pour lui et non pour elle, elle lui aurait demandé la liberté, il lui aurait accordé, mais elle souhaitait qu'Azatoth arrête de se plaindre de lui même et de ce qu'il était. Il se demandait comment quelqu'un qui avait toutes les raison d'en vouloir au monde pouvait être aussi gentille et aimante, comment pouvait on comprendre ce qu'il avait fait. Lui même n'avait jamais accépté son sort ni ses actes, pourtant Alya lui montrait un chemin totalement différent de celui qu'il avait décidé de suivre. Mais la réflexion finis par le faire sourire.

" Je crois que cette question ne regarde que moi, et ma conscience. Mais j'apprecie ta sollicitude. Ce que je ne comprend pas en revanche, c'est pourquoi tu souhaites quelque chose pour moi, alors que tu pouvais obtenir presque n'importe quoi ? "

Cette question le laissait perplexe mais finalement conaissait il le monde moins bien qu'il ne le penait ? Encore une nouvelle interrogation à la longue liste que cette journée venait de lui apporter. Puis une idée vînt lui traverser l'ésprit. Tout en arivant dans l'ascensseur avec Alya il y réfléchissait. Il n'avait as prêté attention aux gardes ni au protocole de sécurité. Il ne revînt qu'a lui quand l'acsensseur reouvrit ses portes au niveau de l'acceuil, ou les deux gardes étaient toujours postés. Il avait repris son apparence joviale et sympathique. Un des médecins vînt l'interpeler :

Médecins :" Monsieur le Directeur, nous avons un problème de masse, une explosion à eu lieu et beaucoup de bléssés arrivent aux services d'urgence, nous sommes débordés, certains n'ont que peut de chances de survit mais d'autres peuvent êtres soignés. "

" Vous me demandez le droit d'euthanasie en gros, vous savez que cet hôpital n'a jamais respecté la déonthologie à la lettre, alors faies le necessaire, nous devons sauver des vies pas laissé souffrir de personnes ui n'ont plus d'espoir alors faites le nécessaire. "

Médecins : " Bien, nous allons avoir beaucoup de décès... "

" Je m'occuperez de la presse, faites votre travail. "

Azatoth allait ressortir de l'hôtpital avec Alya, quand la voiture sortit du parking sous terrain. Il parla alos à Alya :

" Je sais normalement un médecin se doit de tenter de sauver toute vie, mais c'est ridicule, nous le savons tous mais nous ne voulons pas l'admettre, certains ne pourrons pas survivre même avec les meilleurs chirurgiens. J'ai une faveur à te demander moi aussi, j'aimerai que tu t'occupes de ma soeur, j'ai peur que je ne soit pas à la hauteur, tu n'es pas obligés d'accepter ce n'est pas un ordre. Mais je pense que tu a plus d'amour que moi à lui offrir. "

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Alya hésita un long moment avant de répondre. Azatoth semblait étonné qu'elle demande quelque chose pour lui plutot que pour elle. Elle fit une légère grimace puis releva les yeux doucement. Elle ouvrit la bouche puis la referma aussitot. Elle tentait de mesurer chacun des mots qu'elle prononcerait.

-Vous m'offrez un toit, des habits et de plus vous avez beaucoup de considération pour moi malgré mon rang... Le plus beau cadeau que vous m'ayez fait est d'avoir libérez votre soeur et sa mère. Que pourrais je avoir envie de plus ? L'air est respirable ici... Et la liberté... Où irais je ? Je n'ai pas de famille, nul part où aller... Non le seul moyen pour vous de ne plus me revoir serait de m'envoyer de nouveau dans ce refuge... Jamais je ne partirais de mon propre chef...

Alya baissa de nouveau la tête et le suivit jusque dans l'ascenseur. Une fois arrivé dans le hall, Azatoth retrouva son air joviale et sympathique. Bizarrement Alya le trouvait beaucoup plus séduisant lorsqu'il montrait son véritable visage.

Un médecin arriva vers Azatoth et lui annonça un incendie qui ferait venir plein de bléssé. Celui ci semblait attendre des consignes et Azatoth répondit qu'il devait faire ce qui leur semblait juste. L'euthanasie était prohibée, mais lui estimait qu'il était inutile de laisser vivre des gens s'ils allaient souffrir indéfiniement.

Alya était d'accord sur ce point. Son maître semblait avoir envie de s'expliquer sur ça façon de faire et Alya acquiessa d'un signe de tête. Même si elle ne s'y connaissait que très peu sur le sujet. Mais alors qu'elle voulait répondre une fois installée dans la voiture, celui ci lui demanda un service. Il souhaitait qu'elle s'occupe de sa soeur car il pensait ne pas en être capable.

-Ce sera avec un très grand plaisir que je veillerait et m'occuperait d'elle... Mais je suis sure qu'avec le temps vous finirez par vous sentir à la hauteur... Mais sa mère... Vous ne comptez pas les séparer quand même...

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"Merci. je vous rassure sa mère restera près d'elle, leur chambre n'a pa été touché depuis leur départ, je n'ai la non plus pas eu le courage de la détruire. Je la ferais restaurer et moderniser. Bien je crois qu'il est temps pour nous de rentrer, la journée ne fut pas de tout repos. Au fait, je ne compte pas te renvoyer dans cette endroit, ce n'est pas ta place."

Pendant le trajet Azatoth se demandait si le destin l'avait fait choisir cette esclave plutôt qu'une autre. Depuis le début de la journée, elle avait fait changer Azatoth de comportement, la sollitude dans laquelle il s'était enfermé avait laissé sur lui une marque que la présence d'Alya effacait petit à petit. Quand la voiture rentra dans l'Allé de la Rosé, Azatoth décida qu'il devait allez se changer et mettre à laver le kimono qu'il avait sur lui, il allait sans doute aller se défouler dans la piscine ou dans le champs de tir derrière la maison. mais avant il avait encore une formalité à remplir, il annonça à Alya :

" Est ce que tu es prête à marcher encore un peu ? Je dois te faire visiter le manoir encore, enfin ce n'est plus vraiment un manoir mais une très grande villa si tu veux, tu verra déjà. "

La voiture dut ralentir avant de rentrer dans la cour du Manoir, le temps que le portail s'ouvre. Une fois se dernier ouvert et les gardes écartés la voiture s'avança lentement sur le chemin en gravillion, traversant le jardin toujours aussi impeccablement taillé, avant de s'arrêter devant l'entrée de la maison.

Manoir des LordVencard , Allé de la Rosée

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