Olphéra
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Olphéra, la ville de légende… Chercherez vous les cinq objets mystiques ou vivrez vous votre vie simplement… ? Incarnez un Maître, un Esclave, un Neïko ou un Hybride…Serez vous soumis ou rebellé ?
 
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 Ethan Galineas

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2 participants
AuteurMessage
Ethan Galineas
Écrivain
Ethan Galineas


Nombre de messages : 9
Age : 39
Date d'inscription : 30/03/2007

Ethan Galineas Empty
MessageSujet: Ethan Galineas   Ethan Galineas EmptyJeu 5 Avr - 17:58

Nom : Galineas

Prénom : Ethan

Âge : 27 ans

Sexe : Masculin

Sexualité : Hétéro

Métier : écrivain

Niveau social : Aisé

Famille :

Elise Lucile, sa mère, est décédée lorsqu’il était jeune. Ethan n’en garde que peu de souvenirs. Quelques intonations de voix, quelques mimiques, de fugaces images. Il ne sait pas grand-chose sur elle, ou plutôt il ne sais plus et ne s’en soucie pas. Il se souvient d’elle, le reste lui importe peu.

Antonin Galineas, son père, est directeur d’une librairie, « A la page manquante », dans le quartier bourgeois d’Olphéra. La cinquantaine dépassée depuis longtemps, les cheveux blancs épars sur son crâne à demi chauve, la barbe clairsemée sur son menton lui dévorant inégalement les joues, une cigarette à la bouche, le libraire négligé a l’air d’un fou ou d’un sauvage et sa boutique ne conserve un certain prestige que grâce à son employée, esclave et concubine qui, toujours soignée, garantie une apparence honorable au magasin.

Mais il y a bien longtemps qu’Ethan ne pousse plus la porte de l’échoppe paternelle, une dispute violente ayant déchiré le père et le fils. Obscure dispute aux propos oubliés mais à la rancune tenace, des deux cotés. Bien qu’au lieu de rancune, Ethan préférerait dire « désintérêt mutuel ».

Histoire :

Extrait du journal intime d’Ethan :


Citation :
16 avril. 3h27.

Rien n’a de sens, rien n’est utile en ce monde. Ni personne. Un inconnu meurt à chaque instant, qui s’en soucie ? Il sera remplacé dans l’instant qui suit par un autre. Et encore une autre. La liste des noms oubliés ne cesse jamais de s’accroître, et avec elle autant d’histoires perdues, de vies vécues, de passions éteintes. Et malgré cela tous se considèrent unique, irremplaçable et hors du commun, aspirant à un destin hors norme. Les larmes continuent de couler pour des êtres disparus, un parmi la foule des autres. Des passions s’échangent et des baisers se volent. Des luttes s’engagent sous les clameurs, hurlant tel ou tel Dieu, tel ou tel idéal. Et rien dans le monde ne change. Ou si peu.

A quoi bon s’en faire. « Tu étais poussière, tu retourneras poussières ». S’encombrer de principes futiles, de morale douteuse ou de préceptes abscons n’est qu’une hypocrisie de plus qui prive des quelques saveurs d’une vie.

Vivre. Se délecter de chaque instant, et oublier tout ces principes inculqués à coup de bourrage de crâne infantiles. Tout est vain. Agir ou non. Se rebeller ou se soumettre. Accepter ou refuser. Vivre ou mourir. Carpe Diem parait il, et c’est la seule idée réellement attirante. Accepter le monde et l’utiliser. Jouir de tous les instants en profitant de sa chance. Il n’y a pas de destin grandiose, pas de but honorable, pas d’idéaux divins. Pas de bien et de mal. Le système manichéen n’existe que dans des esprits étriqués où le noir et le blanc ne se mélangent pas. En ce monde, il n’y a pas d’espoir. Il n’y que la chance. La chance de pouvoir faire. La chance de pouvoir faire ce qu’on veut. Ou non.

Je fais ce que je veux …

Tomber amoureux. Goûter un bon vin. Dormir. Rêver. Vibrer. Séduire. Etre séduit. Entendre des compliments. Pleurer. Sourire. Faire sourire. Faire rire. Profiter de tout. Tomber en extase devant un spectacle simple. Partager ses passions. Vivre. Embrasser. Offrir. Posséder. Griffer. Faire gémir. Pouvoir et faire. Ecrire. Passion, amour, beauté, saveur, chaleur, tendresse, violence, larme, sang, baiser, douleur, plaisir ... Je fais ce que je veux. Et je veux vivre.

Alors vivons.

Ethan était donc devenu écrivain, ravissant ses lecteurs à coup de romans et de feuilletons paru dans un des prestigieux journaux de la ville. Tantôt leur offrait-il une histoire romantique et illusoire, leur exhibant un instant de rêve et de mensonge doucereux, quelques larmes délicieuses, quelques rires satisfaits, tantôt leur assenait-il une histoire froide, piquant leur gorge d’une pointe de dégoût, ébouriffant leurs sens d’une onde visqueuse. Il s’insinuait corps et âmes dans ses écrits, quels qu’ils soient. Peut être là la recette de son succès, peut être un simple caprice du publique. Qu’importe en fait, il n’aurait put cesser d’écrire, fut il devenu miséreux pour se faire.

Et miséreux il ne l’était pas, loin s’en fallait, bien que toute somme qu’il put recevoir, celle si partait rapidement dans ses fastueuses nuits de délectation massive. Débauches orgiaques auraient dit ses détracteurs.

Il était parti de chez lui vers ses 22 ans, alors même que son premier ouvrage venait d’être publié. Au fur et à mesure des années il avait rencontré nombre de personnes différentes. Des amis, des ennemis, des amantes. Quelques amants aussi. D’Amours, il en eut beaucoup. Ou aucun, se n’est qu’une question de point de vue. D’amis, il ne lui en restait qu’une poignée, beaucoup ne parvenant pas à apprécier le personnage qu’il était. Ou plutôt lui ne les supportant plus. Passionnel et inconstant, il ne gardait de toute façon pas beaucoup de relations.
Plusieurs fois il eut des esclaves. Certaines disparurent, d’autres furent données sans qu’il s’en soucie réellement.

Emily Nesca, une de ses amante et rares amis se suicida une nuit. « La pression de ce monde trop sombre l’ayant fait se perdre elle-même » confia t’elle dans la lettre qu’elle lui envoya. Cet événement aurait put laisser Ethan de marbre, comme nombre d’autres auxquels il avait assisté, si la lettre qu’il reçut n’était pas agrémentée d’un colis, lequel contenait l’arme ayant servie à Emily pour en finir avec la vie. Un revolver. Et dans le barillet, une balle. Une seule balle. Comme un appel. « Rejoint moi quand tu seras perdu toi aussi » semblait elle signifier. Ethan porte en permanence l’arme sur lui, jouant parfois avec le barillet. Se perdre … cela pourrait lui arriver un jour.

Aujourd’hui comme hier, et probablement comme demain, il compte apprécier ce monde, l’apprendre et le comprendre. Et succomber à ses moindres envies. Peut-être est-se là sa vision finale du bonheur. Peut-être rencontrera t’il un élément perturbateur qui ébranlera sa vie. Peut-être décidera t’il de changer le monde …

Mental :

Vain. L’idée principale de tout ce qu’il est. Apparence et illusions. Tromperies douces, mensonges tacites, non-dits courtois. Autant de masques à la réalité.

Ethan vie, profite et joui de son existence, ne s’encombrant pas de dieu ou diable. Il ne compte plus ses passions, chaque nuit apportant son lot de nouvelles ardeurs. Il ris et souris sans trêve, tout est prétexte à plaisir et douceur. Ce monde est sien, et il se plonge en lui, se fond en lui. Peuplant les réceptions de sa présence, glissant son nom parmi les auteurs en vogue de la ville, profitant de ses connaissances pour briller, de ses œuvres pour sublimer, et de son extravagance détachée pour surprendre et troubler. Ethan, homme publique de ses hôtes.

Apparence, apparence … Homme publique de ses pairs, Ethan n’est l’homme privé de personne. Tout est sans doute futile, mais sous ses airs désinvolte Ethan exècre cette impuissance de l’homme. Sa propre impuissance. Ce monde est monde, il ne peut en être autrement. L’idée même que toute action soit vaine agresse ses sens, et Ethan écrit moins pour le succès que pour ne pas sombrer dans la folie. Ses nuits de délectation se finissent en débauche, ainsi noie t'il ses idées sous un torrent de plaisir. Plaisirs superficiels qui ne laisse qu’une entaille de plus le lendemain, laissant Ethan encore plus inassouvi que la veille. Déçu de lui-même, oscillant entre rébellion et lassitude. Mais à quoi cela servirait il de se rebeller contre le monde. La lucidité est un poison pour celui qui y goutte.

Et pourtant, ce monde, Ethan l’aime. C’est de là que vient sa plus profonde déchirure. Il l’aime sans pouvoir y toucher. Ce monde est magnifique dans sa complexité, dans ses vices, dans ses ambitions en permanente naissance. Le changer ? Pour y faire quoi ? Comment faire plus beau que ce monde là ? Un monde où l’injustice côtoie l’idéal, où la passion se marrie au devoir, où la volonté se prouve dans le sang. Perfection de l’imperfection. Et Ethan s’enivre chaque jour de ce monde qu’il aime. Somptueux de vanité, abject de beauté.

Un monde à la poésie aussi douloureuse que délicieuse. Vraiment délicieuse.

Physique :

Elégance, élégance ! Tout en douceur et en charme, Ethan incarne l’apparence du gentilhomme. Soigné, charmant, vêtu avec goût bien qu’un rien trop négligé pour paraître sérieux. Sa démarche vive et ondulante ainsi que son allure légèrement cambrée dans ses costumes noirs rappellent rêveusement l'époque de la fée verte et des poètes maudits.

Son visage souriant et soigné laisse deviner d'anciennes marques de cernes à force de périodes sans sommeil, et il n'est pas rare qu'elles reparaissent au détour d'une nuit blanche. Un sourire perpétuel au coin des lèvres, une étincelle d’intérêt ou d’amusement au coin des yeux, il semble goûter le monde qui l’entoure et en déguster chaque saveur, laissant facilement son attention se disperser d’un sujet à un autre.

Mince et paré de vestons cintrés à la taille, son costume souligne habilement son corps pour le faire paraître plus vif et plus musclé qu'il ne l'est vraiment. Souvent coiffé d'un chapeau de feutre noir, la toilette d'Ethan demeure classique et séduisante, préférant le dandysme à l'excentrisme.


Autre : Il possède sur lui un revolver disposant d’une unique balle. Lorsqu’il est seul, il aime jouer avec le barillet.


Dernière édition par le Dim 8 Avr - 22:17, édité 1 fois
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Tristan Gomez
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Tristan Gomez


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MessageSujet: Re: Ethan Galineas   Ethan Galineas EmptyDim 8 Avr - 15:05

la fiche pour moi es parfaite mais il manque peut être le physique dirais je...
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Ethan Galineas
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Ethan Galineas


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MessageSujet: Re: Ethan Galineas   Ethan Galineas EmptyDim 8 Avr - 22:18

Diantre, une fausse manoeuvre de ma part aura sans doute effacé une partie du texte. Voilà, la maladresse est réparée.
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MessageSujet: Re: Ethan Galineas   Ethan Galineas Empty

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